Autres articles
-
Un univers DC réinventé : De The Batman à The Penguin, l’héritage d’un chef-d’œuvre
-
L'ère des incendies
-
Interdisons la géoingénierie solaire
-
La représentation du « Nouveau Maroc » dans le monde diplomatique
-
Les crises sociales et économiques au Maroc : Un manque de vision stratégique et l'urgence d'une refonte des modes de gestion
Le Conseil national de l’USFP, dont la deuxième session a été tenue le 15 janvier courant à Rabat, s’est penché sur les évènements que connaît la Tunisie, tout en analysant leurs dimensions et en tirant les leçons et conclusions qui s’imposent. A commencer par le pouvoir des peuples quant à l’édification de leur devenir démocratique.
Dans ce cadre, le Conseil national dénonce l’usage des armes à feu contre les citoyens et se recueille sur la mémoire des martyrs du soulèvement du peuple tunisien frère. Il salue également son courage pour la défense de son droit légitime à une vie décente, à la liberté et à la démocratie.
Le Bureau politique, tout en suivant avec intérêt les répercussions de la fin de l’ère d’étouffement des libertés, annonce sa confiance quant au pouvoir du peuple tunisien, des élites, des forces politiques, syndicales et des droits de l’Homme à gérer cette étape. Ce qui devrait, d’une part, redonner à la Tunisie sa stabilité et sa confiance en l’avenir, et d’autre part, faciliter la transition vers une nouvelle ère démocratique.
Le Bureau politique réitère la conviction de ses militants et militantes que la démocratie politique, le multipartisme, le développement économique et social constituent les bases pour l’édification d’un Grand Maghreb complémentaire, fort d’une réelle stratégie de développement qui offre aux peuples de la région les conditions d’une vie libre et digne.
Dans ce cadre, le Conseil national dénonce l’usage des armes à feu contre les citoyens et se recueille sur la mémoire des martyrs du soulèvement du peuple tunisien frère. Il salue également son courage pour la défense de son droit légitime à une vie décente, à la liberté et à la démocratie.
Le Bureau politique, tout en suivant avec intérêt les répercussions de la fin de l’ère d’étouffement des libertés, annonce sa confiance quant au pouvoir du peuple tunisien, des élites, des forces politiques, syndicales et des droits de l’Homme à gérer cette étape. Ce qui devrait, d’une part, redonner à la Tunisie sa stabilité et sa confiance en l’avenir, et d’autre part, faciliter la transition vers une nouvelle ère démocratique.
Le Bureau politique réitère la conviction de ses militants et militantes que la démocratie politique, le multipartisme, le développement économique et social constituent les bases pour l’édification d’un Grand Maghreb complémentaire, fort d’une réelle stratégie de développement qui offre aux peuples de la région les conditions d’une vie libre et digne.