-
Les bidasses d'Alger accouchent d'une ânerie de trop: Le visa pour tout Marocain désireux de se gargariser de "l'Eldorado" algérien
-
Partenariat Maroc-ONUCT. Un engagement continu pour la sécurité et la stabilité en Afrique
-
Le PM palestinien salue les efforts soutenus de Sa Majesté le Roi en faveur de la cause palestinienne
-
Mise en avant à New York de la vision de SM le Roi pour le développement de la coopération Sud-Sud
-
Le CSEFRS publie son rapport annuel au titre de l'année 2023
Outre le Statut avancé, les deux parties l’UE et le Maroc, échangent régulièrement sur les grands dossiers régionaux et des plans d’action ont été mis en œuvre pour plus de visibilité et pour un partenariat plus étroit et plus diversifié. Le programme en question concerne essentiellement le soutien à la stratégie nationale lancée en 2008 qui a pour objectif un accès équitable au système d’éducation de base et une amélioration de la qualité de l’enseignement. Faut-il souligner que depuis quelques années et vu l’avancée du Maroc dans ses réformes politiques, les deux parties cherchent à donner une nouvelle impulsion à leur processus de rapprochement et d’intégration. Une intégration qui est au centre des négociations dans le cadre de l’accord de libre-échange complet et approfondi. Le Maroc est le premier pays méditerranéen avec lequel l’UE lance des négociations sur un accord de libre-échange de ce type. L’objectif est de revaloriser l’accord d’association existant, qui a déjà atteint sa phase finale de démantèlement tarifaire, le 1er mars 2012.Cet accord vise à approfondir les relations économiques existantes dans de nombreux domaines qui ne sont pas encore couverts et faire en sorte d’améliorer les autres. Faut-il rappeler que le Maroc reçoit plus de soutien financier de l’Union européenne que tous les pays de la région. Entre 2011 et 2013, le Royaume a bénéficié de dons estimés à 580 millions d’euros.
L’UE est le premier partenaire commercial du Maroc à hauteur de 50% environ dans l’ensemble des échanges. Les échanges de biens ont atteint en 2012 plus de 26 milliards d’euros alors que ceux des services représentent 7 milliards d’euros. Les investissements directs bilatéraux s’établissent à près de 29 milliards d’euros. C’est dire le destin commun qui lie le Vieux Continent et le Maroc.