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Ces militaires "ont été attaqués par des inconnus. Leurs véhicules de l'ONU ont été vandalisés et des biens officiels ont été volés", a-t-il indiqué, sans préciser leur nature. Il n'a pas fait état de victimes. "Contrairement à de la désinformation relayée par des médias, les Casques bleus ne prenaient pas de photos et ne se trouvaient pas sur une propriété privée. Ils étaient en route pour retrouver des collègues des Forces armées libanaises pour une patrouille de routine", a assuré le porte-parole.
Les entraves à la liberté de mouvement des Casques bleus et les attaques les visant sont "inacceptables", a souligné Stéphane Dujarric, en appelant "les autorités libanaises à enquêter rapidement et de manière approfondie, et "à poursuivre tous les responsables de ces crimes".
La Finul, qui peut comprendre jusqu'à 13.000 Casques bleus, est chargée de la surveillance de la ligne de cessez-le-feu entre le Liban et Israël, convenue après le retrait israélien du sud-Liban en 2000.