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L’Europe à l’heure des barrages

Eliminatoires du Mondial 2014

Vendredi 15 Novembre 2013

L’Europe à l’heure des barrages
Huit équipes européennes s’affrontent à partir de vendredi pour décrocher les quatre dernières places du continent pour la Coupe du monde au Brésil avec comme affiche de ces barrages sous haute tension Portugal-Suède.
Sans faire offense à Ukraine-France, à Islande-Croatie ou à Grèce-Roumanie, la principale question que se pose l’Europe du football est de savoir qui de Cristiano Ronaldo ou de Zlatan Ibrahimovic ne verra pas le Mondial 2014.
Les deux hommes, en lice pour le Ballon d’Or, sont en pleine forme et restent sur un triplé, le Portugais contre la Real Sociedad en Liga (5-1) et le Suédois contre Nice en Ligue 1 (3-1).
Le capitaine de la sélection lusitanienne vit un début de saison quasi parfait avec un statut de meilleur buteur du championnat d’Espagne et 16 buts au compteur quand “Ibra” en totalise huit, dont plusieurs de grande classe.
“Il s’agit de deux très grands joueurs de classe mondiale qui traversent une excellente période”, a reconnu cette semaine l’attaquant portugais Silvestre Varela.
“Je mets une pièce sur Zlatan, comme c’est mon joueur”, lui a répondu le sélectionneur suédois, Erik Hamren.
“Mais Ronaldo est un très bon footballeur. Vous pouvez ne pas le lâcher pendant 85 minutes et le voir marquer deux buts sortis de nulle part”, a-t-il nuancé.
Si l’un de ces deux joueurs regardera le Mondial de loin, d’autres équipes espèrent être de la fête après avoir manqué la première place de leur groupe à l’issue de la campagne de qualifications.
La France avait déjà dû passer par cette épreuve il y a quatre ans et avant le match de vendredi en Ukraine, le souvenir de l’Irlande flotte encore dans tous les esprits.
Après un match aller gagné 1-0 à Dublin, les Bleus avaient eu toutes les peines du monde à se qualifier grâce à un match nul arraché sur un but entaché d’une main de Thierry Henry (1-1).
La Grèce, championne d’Europe en 2004, accueillera la Roumanie et pour ce rendez-vous, son sélectionneur a décidé de miser sur l’expérience.
Fernando Santos a convoqué notamment Fanis Gekas, Giorgos Karagounis et Kostas Katsouranis, qui totalisent la bagatelle de 304 sélections à eux trois.
La Roumanie sera, elle, privée de son capitaine, Vlad Chiriches, qui souffre d’une fracture du nez, dans sa quête d’une qualification à la Coupe du monde pour la première fois depuis 1998.
Le dernier match de ces barrages opposera l’Islande à la Croatie.

Reuters

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