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Selon des sources bien informées à Tindouf, Haidar jouerait un rôle central dans ce plan d’action. Du fait qu’elle vit à Laâyoune même et qu’elle peut maintenir le contact avec les cellules activistes dormantes, elle s’est vu déléguer la tâche de répartir les rôles entre eux et de les réactiver à la demande de ses commanditaires.
Si la visite à Laâyoune des quatre parlementaires espagnols a donné un avant-goût de la suite du plan concocté par le DRS, le rapport Tannock a permis d’en saisir les méfaits.
Selon des sources concordantes, l’actuel plan du DRS vise à encourager par tous les moyens l’organisation de sit-in et de manifestations dans nos provinces sahariennes et de tirer profit de leur effet médiatique sur les opinions publiques européenne et américaine. Même si elles ne regroupent, souvent, que moins d’une vingtaine de personnes, ces manifestations attirent, en effet, davantage les objectifs des caméras que n’importe quel discours ou effets de manches. Surtout s’ils usent des pires provocations à l’endroit des forces de l’ordre et qu’elles dégénèrent en affrontements avec elles. Aussi, pour leur permettre de monter crescendo en puissance, d’importantes sommes d’argent ont été remises à Aminatou Haidar dans l’objectif d’en monnayer l’organisation.
Selon les mêmes sources, l’offensive actuelle pilotée par le DRS en étroite coordination avec le Polisario de l’intérieur, n’en serait qu’à ses débuts et risquerait de perdurer et de faire des victimes parmi les forces de l’ordre pour détourner l’attention des observateurs de la percée diplomatique opérée par le Maroc en Afrique, et plus spécialement auprès des pays du Sahel et de l’Ouest africain.
Mais ce plan semble voué à l’échec puisque les parlementaires espagnols ont fait des déclarations de presse favorables au Royaume et que 138 amendements ont été introduits par consensus dans le rapport Tannok pour en modifier l’orientation de sorte que sa mouture finale soit à l’antipode de son avant-projet.