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Les différents intervenants lors la première journée du colloque, initié par Alter Forum en partenariat avec l’Université Mohammed VI de Rabat, ont mis en avant divers accords, documents et actes historiques, des témoignages et des citations émanant de diverses sources et à diverses époques confirmant la marocanité du Sahara et réfutant les allégations mensongères véhiculées par les adversaires de l’intégrité territoriale.
Les professeurs universitaires prenant part à cet évènement, à l’instar du chercheur mexicain en sciences politiques, Roman Lopez Villicana, de l’écrivain espagnol José Maria Lizundia Zamalloa et des universitaires marocains Jilali Adnani, Ismail Kourtoubi, Noureddine Belhaddad et Seny Moumni ont souligné la continuité des liens historiques qui ont toujours existé entre les tribus sahraouies et les Sultans du Maroc à travers l’acte d’allégeance, en plus de multiples textes, documents et Dahirs émanant des Sultans marocains à différentes époques historiques et témoignant d’un exercice effectif, permanent et continu de la souveraineté marocaine sur les territoires sahariens.
Les intervenants ont également rappelé d’anciennes correspondances et lettres entre les Souverains du Maroc et des chioukhs de tribus sahraouies, à l’instar du cheikh Maelainin au sujet de la résistance face aux incursions étrangères au Sahara marocain, outre la participation distinguée des fils des provinces du Sud aux différents combats menés par l’Armée de libération nationale contre les forces d’occupation.
Le colloque international de Tarfaya a été, par ailleurs, l’occasion de débattre de différentes questions et réalités d’ordre sécuritaire, géopolitique, humanitaire et culturel liées aux frontières dans la zone sahélo-saharienne.
Certains intervenants ont pointé du doigt le fait que ces frontières, tracées au gré des puissances coloniales dans un contexte de rivalité entre elles, ont dans bien des cas fait fi des réalités historiques, ethniques, linguistiques et culturelles propres aux peuples de la région.