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''L'Agence France Presse a publié, le 21 août 2015, une dépêche assortie d'une carte sur ''les principaux murs de séparation dans le monde'', en présentant le mur défensif de sable au Sahara marocain parmi ces murs'', rappelle le communiqué, soulignant que ''les données de la dépêche sont erronées et contraires à la réalité''.
''Le mur défensif de sable, tel que décrit par le rapport du Secrétaire général de l'ONU le 20 octobre 1988, n'est pas un mur de séparation. Un point de passage est en effet opérationnel et ouvert aux populations concernées'', a tenu à clarifier la même source.
''Le mur défensif de sable a été construit pour garantir le droit du Maroc à la préservation de sa sécurité et pour lutter contre l'utilisation du Sahara comme passage pour les réseaux terroristes, le trafic des êtres humains et le trafic de drogue'', relève-t-on précisant que ''grâce à ce dispositif, le Sahara marocain constitue la zone la plus sûre dans la région du Grand Sahara''.
Au cours des deux dernières années, ce mur a été renforcé par un autre mur allant de la Méditerranée, sur une longueur de 150 km longeant les frontières avec l'Algérie au Nord-est du Royaume. ''L'objectif est également de sécuriser les frontières contre les réseaux terroristes, le trafic de drogue, la contrebande, et l'immigration clandestine. Ce mur a lui aussi prouvé son efficacité'', a conclu la même source.