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La réponse du Commissaire européen chargé de la pêche Karmenu Vella, publiée ce mardi par le Parlement européen, est venue mettre un terme aux gesticulations de ces eurodéputés, à pied d’œuvre assidument au service de l’agenda algérien, en leur affirmant d’abord que le protocole d’accord de pêche entre le Maroc et l’Union européenne concerne «l’ensemble des eaux territoriales du Royaume du Maroc y compris le Sahara» et contient des dispositions garantissant qu'il est «pleinement conforme au droit international et sert les intérêts de toutes les populations concernées». Et le Commissaire européen d’insister que toutes les modifications apportées à l’accord, notamment les quotas de pêche «sont entièrement conformes aux dispositions pertinentes du droit international».
Le protocole de pêche Maroc-UE est entré en vigueur le 15 juillet 2014 pour une durée de 4 ans. Pour la Commission européenne, cet accord qui constitue «un exemple de gouvernance internationale responsable de la pêche» est le deuxième plus important du genre et appartient à une nouvelle génération d'accords de pêche conclus après la réforme de la politique commune de la pêche de l'Union, qui met l'accent essentiellement sur la durabilité environnementale, la rentabilité économique et la légalité internationale.