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Pour Ahmed Chami, le Mégaparc industriel dispose d’une infrastructure performante. L’ambition du Maroc vise à propulser le secteur industriel à travers la consolidation du rôle de la région Abda Doukkala dans ce domaine. « Le projet constituera le premier espace réservé aux industries lourdes dites de nouvelle génération et ciblera les secteurs de l’énergie, des industries métallurgiques et chimiques. » a-t-il ajouté.
Ces réalisations industrielles seront équipées selon les normes internationales « Glass Word » et financées dans le cadre du plan Emergence. Au total, le projet de Jorf Lasfar générera quelque 200 unités industrielles qui se mettront en place d’ici 2012 avec la création de 50.000 postes d’ici 2013. La valorisation de ce site s’effectuera en deux tranches : l’une sera prête fin 2009 alors que la seconde sera achevée à l’horizon 2012.
A travers ce projet, la région est appelée à devenir le second pôle industriel du Royaume après celui de Casablanca. Mais cela nécessite aussi la création d’un espace de vie pour cadres et ouvriers qui exerceront dans cet site, d’où la nécessité d’une nouvelle ville de proximité en dehors d’El Jadida qui commence à étouffer sur le plan urbanistique. Il en va de même pour la qualification et la formation d’une main d’œuvre qualifiée capable d’exercer dans les différents secteurs ciblés par le projet. D’ou l’impératif de la création d’un Centre de formation à El Jadida et ses environs.