-
Lignes de Nazca: Plus de 300 nouveaux géoglyphes découverts grâce à l'IA
-
Eviter les traînées de condensation pour réduire l'impact de l'aviation sur le climat
-
Les Etats-Unis autorisent un vaccin contre la grippe à s'administrer soi-même
-
Des pistes pour améliorer diagnostic et traitement des troubles de l'attention chez l'enfant
-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
En décembre 2012, il a décidé de jouer à la loterie et, comme de nombreuses personnes, tenter de gagner le gros lot. Deux millions d’euros étaient donc mis en jeu pour le grand gagnant. Le soir même, les numéros sont tirés. Il y a bien un heureux gagnant mais pourtant personne ne s’est montré pendant près de cinq mois. Sachant qu’un billet de loterie n’est valide que pendant un an et que personne ne s’était présenté, la loterie nationale des Pays-Bas a décidé de passer à l’action.
Pour rechercher cet heureux gagnant, une annonce a donc été passée dans le journal local de Groningen, la ville où le billet vainqueur a été joué. De son côté, le veinard ne savait toujours pas qu’il était millionnaire. C’est en lisant cette annonce qu’il s’est dit qu’il fallait mieux vérifier. Parmi tous ses autres billets, il a retrouvé le fameux billet gagnant.
Un bout de papier valant deux millions d’euros ! “Il est très rare qu’un gagnant ne réponde pas immédiatement. D’ordinaire, les vainqueurs se font connaître dès le lendemain” a souligné un porte-parole de la loterie nationale. Dans l’actualité des loteries, on peut dire qu’il y a souvent de belles surprises. On se souvient de David Czarnik, un habitant du Massachussetts aux Etats-Unis, qui a réussi à remporter deux grosses cagnottes en jouant dans le même établissement. La première datant de 2008, ce joueur avait continué à jouer dans le même établissement et c’est donc quelques années plus tard que la chance lui a de nouveau souri.
Plus récemment, on avait également pu voir qu’un sans-abri avait gagné à la loterie. Agé de 59 ans, cet homme avait remporté la somme de 40.000 euros. Cependant, l’homme avait annoncé ne pas désirer changer de vie et qu’il souhaitait vivre encore dans la rue.