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"La personne est rentrée avec une cagoule et un pistolet" ce mardi 5 novembre aux alentours de 7h30 du matin, a expliqué Laury Massèdre, propriétaire du bureau de tabac en question, situé au centre de Sarlat et à une centaine de mètres d’une antenne de gendarmerie. "Je ne me rappelle plus de ce qu'il m'a dit, mais il venait déterminé. Mais comme je l'ai reconnu, qu'on voyait bien son regard, je lui ai dit 'Mais non, je te connais'!" a-t-elle continué.
Dès lors, le rapport de force a totalement changé. "La personne a enlevé sa cagoule pour m'acheter des cigarettes et est repartie comme ça", a précisé la commerçante, qui n’avait jusqu’alors jamais été victime de braquage. D'après elle, l’homme, qui – comble de l’histoire – a réglé son achat par carte bancaire, n’avait pas dormi "depuis trois ou quatre jours", et semblait alors se trouver sous l’emprise de drogue.
Rapidement retrouvé, le braqueur en herbe a été jugé en comparution immédiate. Face au juge, ce dernier a reconnu les faits en évoquant une "mauvaise blague". Il a été condamné à trois ans de prison dont six mois ferme par le tribunal correctionnel de Bergerac, et a été écroué dans la foulée de l’audience.
Détails croustillants : l’homme a avoué qu’il était sous l’emprise de cocaïne au moment des faits, et qu’il a payé ses cigarettes avec la carte bancaire d’un ami dont il avait le code. Quant à son arme, il s’agissait d’un pistolet à billes.