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Ces projets de recherche ont été validés lors de la réunion du conseil scientifique et du conseil d'administration de l’IRESEN, sous la présidence du ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Fouad Douiri.
D’après un communiqué de l’IRESEN, le premier projet, qui traitera le dessalement de l'eau de mer en utilisant l'énergie solaire, est porté par l'Université internationale de Rabat, l'Université Abdelmalek Essadi (Tanger), l'Université des sciences et technologies du Roi Abdullah (Arabie Saoudite), l'Office chérifien des phosphates (OCP), Jet Alu Maroc et Acwa Power Maroc.
La même source indique que le deuxième projet du dessalement est destiné à l'eau saumâtre en utilisant de l'énergie solaire à concentration. Le consortium constitué à cet égard se compose du Centre national de l'énergie des sciences et des techniques nucléaires (Maroc), de l'Université Hassan II, de la Faculté des sciences et des techniques (Errachidia), de l’Université Moulay Ismail, des entreprises LSA industrie (Maroc), Tubes et profils (Maroc) et de la plate-forme solaire d'Almeria (Espagne).
Les conseils ont également délibéré sur les projets de recherche sélectionnés au titre des appels à projets de l'année 2013 pour la phase de validation financière. Il s'agit de sept projets dont cinq relatifs au domaine de l'énergie photovoltaïque et deux au domaine de l'énergie éolienne.
L'IRESEN alloue un budget de 35 millions de dirhams pour soutenir les projets retenus en 2013 et dont les thématiques traitent notamment de la conception d'une éolienne de petite capacité, le développement de produits nanolubrifiants pour les éoliennes dans des conditions climatiques désertiques et le développement d'une technologie photovoltaïque à concertation marocaine compétitive.
Les projets de recherche retenus pour la validation financière veilleront à développer l'expertise nationale et permettront la création de nouvelles filières et de nouvelles opportunités dans le secteur des énergies renouvelables.