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Tenue sous le thème « La question politique aujourd’hui », cette rencontre a été l’occasion pour Hassan Tarek de souligner que dans l’état actuel la relation entre les élections et la décision politique demeure très fragile. Et de confirmer que la désaffection des électeurs est due à leur conviction et certitude que les décisions politiques sont prises loin des résultats des urnes.
Tout en indiquant que les élections, elles-mêmes, ne constituent plus une opportunité politique de débat, d’examen, de discussion et de confrontation entre des projets, Hassan Tarek a tenu à souligner devant l’assistance la marge du champ politique moderne dans le système politique général.
Concernant les élections électorales de 2007, Hassan Tarek a rappelé que ces échéances ont constitué une totale déchéance de la pensée politique et une victoire du non politique et des notables sur les militants. Dans le même cadre, l’évaluation de ces échéances à laquelle a procédé l’USFP a démontré l’existence d’une défaillance dans le processus politique, une situation qui exige à nouveau de replacer la crise politique dans son véritable contexte.
S’agissant des réformes politiques, institutionnelles et constitutionnelles présentées au VIIIème Congrès, Hassan Tarek a fait savoir qu’elles sont faites pour défendre la politique et partant réhabiliter l’action politique.
Pour sa part, Habib Taleb, membre du Conseil national de l’USFP, a fait un check-up de la situation actuelle, évoqué la régression de la participation des citoyens dans la vie politique et le recul de la popularité des forces progressives. Après avoir présenté une série de raisons objectives et sociales de la crise politique, le manquement des forces progressistes à plusieurs niveaux, Habib Taleb a confirmé qu’il y a un vrai danger et que la politique est en train de rendre l’âme.