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Pour Enzo Francescoli, directeur sportif de River Plate, remporter la finale de la Coupe du monde des clubs face au Real Madrid serait un événement "historique", a confié l'ancien milieu offensif du Racing Matra, de l'Olympique de Marseille ou du Torino dans un entretien à l'AFP.
Pour affronter le Real, samedi, River Plate, récent vainqueur de la Copa Libertadores face à Boca Juniors, devait toutefois éliminer mardi le club émirati d'Al Ain, organisateur de la compétition.
Q: Une victoire en finale de la Coupe du monde des clubs face au Real serait-elle plus importante pour River que le succès en Copa Libertadores ?
"Toutes les victoires ont leur importance. Evidemment, le succès contre Boca Juniors est unique, mais remporter la finale de la Coupe du monde des clubs face au Real constituerait également un moment historique pour River. Mais avant de songer à cela, une rencontre difficile nous attend contre Al Ain, une équipe avec un style de jeu à la fois rapide et physique que nous respectons".
Le Real n'apparaît pas au mieux en ce moment. Est-ce un avantage ou un inconvénient pour River Plate ?
"Dans ce type de match, chacune des deux équipes part à égalité de chances. L'état de forme du moment importe peu. L'important, c'est que tout fonctionne bien au jour J. Evidemment, le Real se ressent du départ de Cristiano Ronaldo (à la Juventus), mais sinon, ils alignent une équipe quasiment identique à celle de la saison passée."
Etes-vous favorable au format actuel de la Coupe du monde des clubs à 7 équipes ou à une version élargie comme le projette la Fifa ?
"J'appréciais plus la formule de la Coupe intercontinentale. Je suis favorable à une compétition intercontinentale par matches aller et retour, afin que les supporteurs ne se contentent pas de regarder les matches à la télévision. Que les clubs sud-américains se déplacent en Europe et puissent accueillir leurs adversaires européens."
Pour affronter le Real, samedi, River Plate, récent vainqueur de la Copa Libertadores face à Boca Juniors, devait toutefois éliminer mardi le club émirati d'Al Ain, organisateur de la compétition.
Q: Une victoire en finale de la Coupe du monde des clubs face au Real serait-elle plus importante pour River que le succès en Copa Libertadores ?
"Toutes les victoires ont leur importance. Evidemment, le succès contre Boca Juniors est unique, mais remporter la finale de la Coupe du monde des clubs face au Real constituerait également un moment historique pour River. Mais avant de songer à cela, une rencontre difficile nous attend contre Al Ain, une équipe avec un style de jeu à la fois rapide et physique que nous respectons".
Le Real n'apparaît pas au mieux en ce moment. Est-ce un avantage ou un inconvénient pour River Plate ?
"Dans ce type de match, chacune des deux équipes part à égalité de chances. L'état de forme du moment importe peu. L'important, c'est que tout fonctionne bien au jour J. Evidemment, le Real se ressent du départ de Cristiano Ronaldo (à la Juventus), mais sinon, ils alignent une équipe quasiment identique à celle de la saison passée."
Etes-vous favorable au format actuel de la Coupe du monde des clubs à 7 équipes ou à une version élargie comme le projette la Fifa ?
"J'appréciais plus la formule de la Coupe intercontinentale. Je suis favorable à une compétition intercontinentale par matches aller et retour, afin que les supporteurs ne se contentent pas de regarder les matches à la télévision. Que les clubs sud-américains se déplacent en Europe et puissent accueillir leurs adversaires européens."