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S’inscrivant dans le cadre du renforcement des expériences du ministère chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger en matière de mobilisation des compétences MRE, cette manifestation a pour objectif d'associer les compétences maroco-canadiennes au processus de développement du Maroc par la mise en débat de plusieurs projets soumis par les compétences maroco-canadiennes relatifs aux thématiques arrêtées (agriculture et agroalimentaire, industrie et entrepreneuriat, recherche scientifique, éducation et enseignement supérieur et environnement, climat, énergie verte et le développement durable). Dans son allocution d’ouverture, Mohamed Ameur, ministre chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, a tenu à souligner que ce forum est un moment mémorable qui a vu se réaliser le souhait formulé il y a six mois à Montréal, à savoir revoir les compétences marocaines au Canada associées au processus de développement du Maroc à travers des projets et stimuler la coopération bilatérale entre les deux pays. « Plus de cinquante projets dans cinq domaines majeurs sont là pour faire la preuve que le message délivré à Montréal a porté ses fruits », a-t-il précisé.
Hassan Bentaleb
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Pourtant, le ministre ne perd pas le sens de la réalité. Il savait que la concrétisation de ces projets ne sera pas de tout repos. « La phase qui suit, celle du passage à l’acte, est la plus difficile. Elle est décisive, non seulement pour la survie du projet, mais pour la crédibilité des acteurs, surtout ceux qui prennent le relais, ici, au Maroc », a-t-il noté.
A ce propos, il a lancé un appel aux ministères, aux autorités locales, aux agences de développement, aux établissements publics, aux instituts, aux banques, aux associations et à tous les autres intervenants de la partie marocaine pour qu’ils apportent les gages de sérieux et d’efficacité qu’attendent les partenaires canado-marocains.
M. Ameur a conclu son intervention en insistant que la mobilisation des compétences à l’étranger constitue un objectif stratégique dans la politique de l’Etat : « Deux mots d’ordre guident cette politique : bien savoir repérer ces valeurs intellectuelles sûres et en faire le meilleur emploi possible dans le quête du développement ».
De son côté, Nezha Chekrouni, ambassadrice du Royaume du Maroc à Ottawa, a précisé que la tenue de ce forum des compétences marocaines du Canada est une plateforme qui permettra aux cadres marocains au Canada d’explorer les opportunités de travailler de concert avec les institutionnels et les opérateurs privés marocains autour de projets mais également sur le développement social par le biais de la création de l’emploi. « En initiant l’idée de ce forum, l’objectif a été de donner à nos compétences résidant dans ce pays ami, l’opportunité d’apporter leurs contributions individuelle ou collective aux chantiers du développement du Maroc », a-t-elle expliqué.
Elle a également souligné que l’espace atlantique est une zone géoéconomique pleine de promesses au sein de laquelle le Canada et le Maroc pourraient être deux têtes de pont en mettant en commun leurs potentialités économiques et humaines dans le cadre d’un partenariat intelligent et mutuellement avantageux.
Pourtant, le ministre ne perd pas le sens de la réalité. Il savait que la concrétisation de ces projets ne sera pas de tout repos. « La phase qui suit, celle du passage à l’acte, est la plus difficile. Elle est décisive, non seulement pour la survie du projet, mais pour la crédibilité des acteurs, surtout ceux qui prennent le relais, ici, au Maroc », a-t-il noté.
A ce propos, il a lancé un appel aux ministères, aux autorités locales, aux agences de développement, aux établissements publics, aux instituts, aux banques, aux associations et à tous les autres intervenants de la partie marocaine pour qu’ils apportent les gages de sérieux et d’efficacité qu’attendent les partenaires canado-marocains.
M. Ameur a conclu son intervention en insistant que la mobilisation des compétences à l’étranger constitue un objectif stratégique dans la politique de l’Etat : « Deux mots d’ordre guident cette politique : bien savoir repérer ces valeurs intellectuelles sûres et en faire le meilleur emploi possible dans le quête du développement ».
De son côté, Nezha Chekrouni, ambassadrice du Royaume du Maroc à Ottawa, a précisé que la tenue de ce forum des compétences marocaines du Canada est une plateforme qui permettra aux cadres marocains au Canada d’explorer les opportunités de travailler de concert avec les institutionnels et les opérateurs privés marocains autour de projets mais également sur le développement social par le biais de la création de l’emploi. « En initiant l’idée de ce forum, l’objectif a été de donner à nos compétences résidant dans ce pays ami, l’opportunité d’apporter leurs contributions individuelle ou collective aux chantiers du développement du Maroc », a-t-elle expliqué. Elle a également souligné que l’espace atlantique est une zone géoéconomique pleine de promesses au sein de laquelle le Canada et le Maroc pourraient être deux têtes de pont en mettant en commun leurs potentialités économiques et humaines dans le cadre d’un partenariat intelligent et mutuellement avantageux.