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Le Raja a réussi, samedi au complexe sportif Mohammed V à Casablanca, à décrocher son billet pour le tour des quarts de finale de la Ligue africaine des clubs champions, après avoir éliminé la formation ivoirienne de l’ASEC Mimosas. Les Verts ont eu le dernier mot, dans ce match des huitièmes disputé en un seul acte, en raison de la situation d’instabilité qui prévaut en Côte d’Ivoire, après recours aux tirs au but : 5-4. Le temps réglementaire s’était soldé, bien entendu, sur une issue de parité, un but partout.
Il s’en est fallu de peu pour cette équipe du Raja qui a failli laisser des plumes lors de cette partie. Face à des Ivoiriens aguerris, les hommes de M’Hamed Fakhir ont éprouvé toutes les peines du monde, n’arrivant pas à dicter leur jeu. Un jeu qui manquait terriblement de profondeur, ce qui a facilité davantage les choses pour des Mimos qui ne demandaient que cela. Et avec une défense rajaouie qui flotte, ces derniers ont tenté d’orchestrer quelques actions, dont une un cas d’école qui a failli faire mouche, s’il n’y avait l’intervention du gardien Yassine El Had.
Au cours du second half, la partie n’a pas changé de physionomie : un ASEC qui déroule et un Raja qui pousse. Mais il faut dire que les Verts n’ont pas été assez protégés par l’arbitre qui laissait faire et qui aurait dû siffler quelques tacles rugueux.
De l’autre côté, les Ivoiriens continuaient sur leur lancée, parvenant à la 56ème minute à ouvrir le score par l’entremise d’Adama Bakayoko, exploitant un centre de son partenaire qui a fait mordre la poussière au pauvre Nabil Mesloub, relevé d’ailleurs par Mahdoufi en vue d’apporter plus de sérénité à une défense, privée de ses deux piliers Rbati et Belmaâlem, blessés.
Menés au score, les partenaires de Rachid Soulaymanie ont essayé par tous les moyens de remettre les pendules à l’heure. L’entrée en jeu de Souari et de Tire à la place d’Aboucharouane et Berrabeh a donné plus de mordant à l’équipe qui s’était montrée beaucoup plus entreprenante. Et c’est grâce à Hassan Souari que les Verts sont revenus dans le match, se faisant faucher en pleine surface de réparation. Le penalty a été transformé avec succès par Mohcine Mitwalli au temps additionnel.
Au cours de la séance des tirs au but, la chance a souri aux Rajaouis, vainqueurs par 5 à 4. Ils s’imposent et accèdent donc aux quarts de finale, tour qui se jouera sous la formule des groupes. Sachant que le deuxième représentant du football national en cette C1 continentale, le WAC, devait affronter hier à Lumumbashi, le tenant du titre, le TP Mazembe. Le match aller disputé il y a une quinzaine de jours à Casablanca avait vu la victoire du Wydad par 1 à 0.
En Coupe de la CAF, le MAS a obtenu samedi son ticket pour les quarts de finale de la Coupe de la CAF et ce, malgré sa défaite au match retour à l’extérieur face à l’équipe soudanaise d’El Khartoum. Celle-ci a scellé le sort de cette explication sur le score de 2 à 0, suite aux réalisations de Saleh El Amir sur penalty (9èmn) et Hamid Ammari au quart d’heure du jeu.
A l’aller, les Fassis avaient fait l’essentiel, pliant les débats de la première confrontation sur le score sans appel de 5 à 1.
A propos du FUS, il a vu son parcours stoppé à ce stade de la compétition, suite à sa défaite par 1-0 à Luanda face aux Angolais de Primeiro de Agusto (aller: 1-1).
Quant au DHJ, il devait disputer hier en dehors de ses bases le match retour des huitièmes de finale face aux Malgaches d’AS.Adema (aller : 3-0).
Il s’en est fallu de peu pour cette équipe du Raja qui a failli laisser des plumes lors de cette partie. Face à des Ivoiriens aguerris, les hommes de M’Hamed Fakhir ont éprouvé toutes les peines du monde, n’arrivant pas à dicter leur jeu. Un jeu qui manquait terriblement de profondeur, ce qui a facilité davantage les choses pour des Mimos qui ne demandaient que cela. Et avec une défense rajaouie qui flotte, ces derniers ont tenté d’orchestrer quelques actions, dont une un cas d’école qui a failli faire mouche, s’il n’y avait l’intervention du gardien Yassine El Had.
Au cours du second half, la partie n’a pas changé de physionomie : un ASEC qui déroule et un Raja qui pousse. Mais il faut dire que les Verts n’ont pas été assez protégés par l’arbitre qui laissait faire et qui aurait dû siffler quelques tacles rugueux.
De l’autre côté, les Ivoiriens continuaient sur leur lancée, parvenant à la 56ème minute à ouvrir le score par l’entremise d’Adama Bakayoko, exploitant un centre de son partenaire qui a fait mordre la poussière au pauvre Nabil Mesloub, relevé d’ailleurs par Mahdoufi en vue d’apporter plus de sérénité à une défense, privée de ses deux piliers Rbati et Belmaâlem, blessés.
Menés au score, les partenaires de Rachid Soulaymanie ont essayé par tous les moyens de remettre les pendules à l’heure. L’entrée en jeu de Souari et de Tire à la place d’Aboucharouane et Berrabeh a donné plus de mordant à l’équipe qui s’était montrée beaucoup plus entreprenante. Et c’est grâce à Hassan Souari que les Verts sont revenus dans le match, se faisant faucher en pleine surface de réparation. Le penalty a été transformé avec succès par Mohcine Mitwalli au temps additionnel.
Au cours de la séance des tirs au but, la chance a souri aux Rajaouis, vainqueurs par 5 à 4. Ils s’imposent et accèdent donc aux quarts de finale, tour qui se jouera sous la formule des groupes. Sachant que le deuxième représentant du football national en cette C1 continentale, le WAC, devait affronter hier à Lumumbashi, le tenant du titre, le TP Mazembe. Le match aller disputé il y a une quinzaine de jours à Casablanca avait vu la victoire du Wydad par 1 à 0.
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A l’aller, les Fassis avaient fait l’essentiel, pliant les débats de la première confrontation sur le score sans appel de 5 à 1.
A propos du FUS, il a vu son parcours stoppé à ce stade de la compétition, suite à sa défaite par 1-0 à Luanda face aux Angolais de Primeiro de Agusto (aller: 1-1).
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