-
Les bidasses d'Alger accouchent d'une ânerie de trop: Le visa pour tout Marocain désireux de se gargariser de "l'Eldorado" algérien
-
Partenariat Maroc-ONUCT. Un engagement continu pour la sécurité et la stabilité en Afrique
-
Le PM palestinien salue les efforts soutenus de Sa Majesté le Roi en faveur de la cause palestinienne
-
Mise en avant à New York de la vision de SM le Roi pour le développement de la coopération Sud-Sud
-
Le CSEFRS publie son rapport annuel au titre de l'année 2023
C’est la pagaille et l’anarchie. Aucune organisation, ni de l’opération des ventes et achats, ni celle de l’immolation rituelle. Une véritable catastrophe sur le plan écologique et sanitaire avant et après le jour de la fête. L’hygiène des villes qui laisse déjà à désirer en prend un coup dur. Et si on fêtait propre, écologique et en sécurité sanitaire. ? Et c’est très possible avec une bonne organisation et des mesures écologiques qui ne sont nullement en contradiction avec la religion.
A l’image de plusieurs pays développés où il y a bon nombre de musulmans, il existe des abattoirs spécialisés et agréés par les autorités. L’abattage peut se faire dans les abattoirs et les viandes remises à domicile au citoyen. Certaines initiatives ont été entreprises dans ce sens mais certaines habitudes ont la vie dure. Pour que la fête prenne son véritable sens. Pour qu’elle ne soit pas synonyme de saleté, de déchets et autres ordures à la pelle. Pour que les rues et les infrastructures de nos villes ne soient pas dangereusement ou piteusement affectées et que leur environnement ne connaisse pas de graves conséquences fâcheuses, pour des viandes saines allant dans le sens de la protection de la santé du consommateur, il faut la contribution et la participation de tous. Il faut une prise de conscience collective du danger que représente cette pollution occasionnelle sur la santé des citoyens et l’environnement urbain.