-
Les bidasses d'Alger accouchent d'une ânerie de trop: Le visa pour tout Marocain désireux de se gargariser de "l'Eldorado" algérien
-
Partenariat Maroc-ONUCT. Un engagement continu pour la sécurité et la stabilité en Afrique
-
Le PM palestinien salue les efforts soutenus de Sa Majesté le Roi en faveur de la cause palestinienne
-
Mise en avant à New York de la vision de SM le Roi pour le développement de la coopération Sud-Sud
-
Le CSEFRS publie son rapport annuel au titre de l'année 2023
"La réunion de Rabat va devenir un repère du mouvement municipal international et de la démocratie locale, d'autant plus qu'on va continuer la réflexion sur le rôle des municipalités et gouvernements locaux quant aux divers problèmes auxquels fait face le monde actuellement", a expliqué M. Oualalou lors d'une conférence de presse conjointe avec Kadir Topbas, président de CGLU.
Pour le maire de Rabat, cet évènement prend de l'ampleur par l'envergure des trois grands agendas inscrits à son ordre du jour, à savoir l'habitat, le développement post 2015 et l'environnement. "Aujourd'hui, ces questions dominent de plus en plus les débats au sein de l'ONU, des forums économiques et des organisations régionales", a-t-il dit, soulignant que l'objectif principal de cette rencontre est de "donner une dimension locale à ces sujets et faire entendre la voix des autorités municipales auprès des organisations internationales".
Aux yeux de M. Oualalou, dans la foulée des transformations économiques, démographiques et sociales que connait le monde, il importe que la voix du CGLU soit entendue par les différentes parties prenantes. Il a jugé indispensable le partenariat avec les ONG dans la gestion locale des villes, eu égard à leurs rôle primordial dans l'effort consenti en faveur de la promotion des conditions de vie des citoyens. Pour M. Topbas, également maire d'Istanbul, le pari devant les autorités locales est de rendre les villes plus vivables en adoptant une politique socioéconomique intégrée et en luttant contre toute forme de marginalisation. "Cela nécessite la mobilisation de tous les moyens financiers et logistiques, mais aussi un partenariat avec la société civile".
M. Topbas a, par ailleurs, salué le processus de réformes "phares et importantes" menées par le Maroc dans tous les domaines, notamment dans le renforcement de la décentralisation territoriale.
Le Congrès mondial des cités et gouvernements locaux unis, qui se tient du 1er au 4 octobre à Rabat, connait la participation de près de 3.000 personnes, dont des dirigeants locaux et régionaux, des représentants d'organisations internationales et d'institutions financières, ainsi que des partenaires de la société civile et du secteur public et privé, selon les organisateurs.
La cérémonie d'ouverture de ce grand évènement a été marquée par un message Royal dont lecture a été donnée par le président du Conseil de la ville de Rabat, Fathallah Oualalou.