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L'auteur de ces forfaits n'est autre qu'un natif d'Essaouira en 1978, marié, et, à la grande surprise, peintre en bâtiment.
D'après l’enquête sur les différents délits de vols qualifiés perpétrés depuis 2007, les éléments de P.J avaient la conviction d’avoir affaire à un combrioleur qui n’agissait jamais au hasard, ses victimes faisaient l'objet d'un long travail de surveillance et de localisation. Alors, seule une erreur de sa part pourrait conduire à son identification. Et c'est ce qui est arrivé, lorsque le peintre en bâtiment s’est introduit à deux reprises dans deux maisons appartenant à la même personne qui avait la malchance de faire appel à ses services auparavant.
Pour les éléments de la P J, cette coïncidence ne pouvait pas être le fruit du hasard. Il était clair que c’était une personne qui avait fréquenté les deux locaux. Après quelques jours de surveillance, le peintre en bâtiment, fut pris en flagrant délit de recel d'objets volés (meubles, appareils électroménagers) qu'il voulait écouler par la suite.
Le mis en cause qui a été déféré à la cour d'appel de Safi, s’introduisait dans des maisons ciblées, pour la plupart du temps inhabitées, au moyen d'échelles ou de clés passe-partout.
Un autre dossier vient aussi d'être clos grâce aux efforts déployés par la 2ème brigade des investigations qui a mis la main le 25 septembre 2009 sur les membres d'une bande criminelle à l'origine de plusieurs actes de vols commis l'été dernier sur la plage d'Essaouira. Suite à la déposition de seize plaintes par des estivants toutes nationalités confondues, les éléments de la P.J ont procédé à des surveillances soutenues, chose qui avait permis d’arrêter deux cambrioleurs en flagrant délit de vol d'un portable appartenant à un estivant. Une fois appréhendés, les malfaiteurs ont avoué être les instigateurs de plusieurs opérations similaires, tout en dévoilant l'identité de leur complice ainsi que celle de deux receleurs. Deux membres de la bande arrêtée n'étaient autres que des étudiants de l'Institut des techniques appliquées, tandis que le troisième était un récidiviste. D'après leurs aveux, ils auraient vendu un appareil numérique de 10.000 dirhams au prix de 400 dirhams à l'un des deux receleurs déférés devant la cour d'appel de Safi.