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La 17ème édition de
la Coupe Lalla Meryem
a vu la participation, pour la première fois,
de la jeune golfeuse
professionnelle gadirie, Maha Haddioui qui a
surpris le public par
sa prestation lors du
tournoi. Malgré son manque d’expérience
à ce niveau-là, Maha n’a pas démérité pour autant et elle fera certainement parler d’elle dans un très proche avenir.
Libé : Dites-nous, Maha, à quel âge avez-vous commencé à jouer au golf ?
Maha Haddioui : J’ai commencé à pratiquer le golf à l’âge de 13 ans, ici même, au Golf du Soleil, parce que j’habite en fait à 300m du lieu.
Racontez-nous un peu ça.
Un jour, je suis venue déjeuner avec mes parents. Puis Jean-Marie Kazmierczak , qui me coache, m’a demandé de venir essayer. J’ai donc essayé, et j’ai trouvé ça génial.
C’était en quelle année ?
C’était en 2001, un an après l’ouverture du Golf du Soleil.
Vous êtes ensuite devenue golfeuse amateur. Qu’avez-vous fait après votre apprentissage au Golf du Soleil ?
Après, je suis allée à l’Université aux Etats-Unis. Et là, j’ai joué avec mon équipe universitaire dont j’étais la capitaine pendant quatre ans.
Et après l’Université, qu’avez-vous fait ?
Je suis rentrée au pays où j’ai continué à jouer au golf. Et chaque année, je participais au Championnat arabe que je remportais tous les ans.
Depuis quelle année ?
Depuis 2003.
Parlez-nous maintenant de votre passage au professionnalisme.
J’ai passé mes cartes au mois de novembre 2010. Et puis voilà.
Quel a été votre premier tournoi en tant que professionnelle ?
La 17ème Coupe Lalla Meryem que j’ai eu la chance de disputer chez moi, à Agadir et devant mon public.
C’est donc votre premier tournoi majeur en tant que golfeuse professionnelle?
Oui. Tout à fait.
Et qu’est-ce que ça vous a fait de jouer sur les greens du Golf où avez fait vos premières classes ?
Ça a été pour moi en même temps un avantage et un désavantage. Un avantage, parce que je connais bien le terrain, et un désavantage, parce qu’on attendait beaucoup de moi. J’ai subi beaucoup de pression. Mais je suis très contente d’avoir pu jouer sur mon parcours.
Et comment ça s’est passé pour vous?
Ça s’est très bien passé. Je me suis améliorée et c’est bien. Et puis, mon putting a été exceptionnel au deuxième jour de la compétition. Car en général, c’est le domaine dans lequel j’ai encore des lacunes. Et ça fait trois mois que je fais en moyenne trois heures de putting par jour. Donc, je suis très contente que ce soit réglé. Mais je dois encore beaucoup travailler.
Vous êtes donc confiante.
Ouais, Ça va très bien merci.
Quels vont être vos prochains tournois?
Pour les mois d’avril et mai, je participerai à des tournois du Tour européen au Portugal, en Allemagne, en Slovaquie, la Nivelle Ladies Open en France et le Banesto à Madrid. J’ai donc un programme assez chargé pour les deux prochains mois.
la Coupe Lalla Meryem
a vu la participation, pour la première fois,
de la jeune golfeuse
professionnelle gadirie, Maha Haddioui qui a
surpris le public par
sa prestation lors du
tournoi. Malgré son manque d’expérience
à ce niveau-là, Maha n’a pas démérité pour autant et elle fera certainement parler d’elle dans un très proche avenir.
Libé : Dites-nous, Maha, à quel âge avez-vous commencé à jouer au golf ?
Maha Haddioui : J’ai commencé à pratiquer le golf à l’âge de 13 ans, ici même, au Golf du Soleil, parce que j’habite en fait à 300m du lieu.
Racontez-nous un peu ça.
Un jour, je suis venue déjeuner avec mes parents. Puis Jean-Marie Kazmierczak , qui me coache, m’a demandé de venir essayer. J’ai donc essayé, et j’ai trouvé ça génial.
C’était en quelle année ?
C’était en 2001, un an après l’ouverture du Golf du Soleil.
Vous êtes ensuite devenue golfeuse amateur. Qu’avez-vous fait après votre apprentissage au Golf du Soleil ?
Après, je suis allée à l’Université aux Etats-Unis. Et là, j’ai joué avec mon équipe universitaire dont j’étais la capitaine pendant quatre ans.
Et après l’Université, qu’avez-vous fait ?
Je suis rentrée au pays où j’ai continué à jouer au golf. Et chaque année, je participais au Championnat arabe que je remportais tous les ans.
Depuis quelle année ?
Depuis 2003.
Parlez-nous maintenant de votre passage au professionnalisme.
J’ai passé mes cartes au mois de novembre 2010. Et puis voilà.
Quel a été votre premier tournoi en tant que professionnelle ?
La 17ème Coupe Lalla Meryem que j’ai eu la chance de disputer chez moi, à Agadir et devant mon public.
C’est donc votre premier tournoi majeur en tant que golfeuse professionnelle?
Oui. Tout à fait.
Et qu’est-ce que ça vous a fait de jouer sur les greens du Golf où avez fait vos premières classes ?
Ça a été pour moi en même temps un avantage et un désavantage. Un avantage, parce que je connais bien le terrain, et un désavantage, parce qu’on attendait beaucoup de moi. J’ai subi beaucoup de pression. Mais je suis très contente d’avoir pu jouer sur mon parcours.
Et comment ça s’est passé pour vous?
Ça s’est très bien passé. Je me suis améliorée et c’est bien. Et puis, mon putting a été exceptionnel au deuxième jour de la compétition. Car en général, c’est le domaine dans lequel j’ai encore des lacunes. Et ça fait trois mois que je fais en moyenne trois heures de putting par jour. Donc, je suis très contente que ce soit réglé. Mais je dois encore beaucoup travailler.
Vous êtes donc confiante.
Ouais, Ça va très bien merci.
Quels vont être vos prochains tournois?
Pour les mois d’avril et mai, je participerai à des tournois du Tour européen au Portugal, en Allemagne, en Slovaquie, la Nivelle Ladies Open en France et le Banesto à Madrid. J’ai donc un programme assez chargé pour les deux prochains mois.