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Arbitre international durant
de longues années, Michel Dusson a été élu membre
de la Fédération internationale des luttes associées (FILA)
en 1980 en marge des Jeux
olympiques de Moscou, avant d’occuper en 1982 le poste
de secrétaire général de cette
instance. Il est également
membre actif de la Fédération française des luttes associées, qu’il avait dirigée de la période allant de 1979 à 1991. Actuellement, il en est
le président d’honneur.
Dans l’entretien accordé à Libé, Michel Dusson revient
sur la candidature marocaine pour l’organisation des Mondiaux de lutte sur plage
et le niveau de la pratique
de cette discipline au Maroc.
Libé : Quel est le motif de votre visite à la ville d’El Jadida ?
Michel Dusson : La Fédération Royale marocaine des luttes associées a déposé sa candidature pour l’organisation du Championnat du monde de lutte sur plage pour l’année 2013. Ma visite rentre dans le cadre d’examiner les conditions d’organisation dans lesquelles se déroulera le Championnat du monde de beach-lutte. Si nous sommes ici au Maroc, c’est qu’on a de bonnes raisons de croire que l’organisation sera parfaite. On a déjà eu une première expérience avec la FRMLA à Marrakech lors du championnat d’Afrique des nations et de l’Océanie pour les qualificatifs aux J.O de Londres 2012.
Vous avez dit que l’organisation sera parfaite à El Jadida. Sur quel critère vous vous-êtes basé?
Dans ce sens, il y a plusieurs critères D’abord, El Jadida est une station balnéaire très connue, il y a des hôtels de haut standing, la restauration est excellente, l’accueil est chaleureux, la plage est excellente. Ensuite, le Maroc est une terre d’accueil qui a toujours honoré ses engagements. Je pense que les lutteurs des cinq continents passeront un séjour agréable à El Jadida.
Que pensez-vous de la lutte au Maroc ?
Ce sport a connu des moments de gloire au Maroc. Il y avait de grands lutteurs surtout dans la lutte gréco-romaine au temps du président Haj El Oufir. Je souhaite qu’avec ce nouveau bureau dirigeant ambitieux, la lutte marocaine retrouvera ses lustres d’antan.
Comment est venue l’idée du beach-lutte?
C’est la mode, il y a beach-foot, beach-volley, etc. Mais le point essentiel, c’est d’intéresser les estivants à ce sport et notamment les petits enfants qui sont en vacances dans les plages et comme ça, une fois, rentrés à la maison, ils vont inciter leurs parents à les inscrire dans les clubs de lutte.
Est-ce-que vous avez eu des contacts à El Jadida avec des hauts responsables à ce sujet?
Bien entendu après avoir visité la ville, sa plage et tous les sites qui concernent la compétition, j’ai eu des contacts avec les autorités. Tout le monde est prêt à coopérer avec la FRMLA dans le but de faire réussir cette manifestation qui rassemblera 250 à 300 lutteurs représentant 50 pays.
de longues années, Michel Dusson a été élu membre
de la Fédération internationale des luttes associées (FILA)
en 1980 en marge des Jeux
olympiques de Moscou, avant d’occuper en 1982 le poste
de secrétaire général de cette
instance. Il est également
membre actif de la Fédération française des luttes associées, qu’il avait dirigée de la période allant de 1979 à 1991. Actuellement, il en est
le président d’honneur.
Dans l’entretien accordé à Libé, Michel Dusson revient
sur la candidature marocaine pour l’organisation des Mondiaux de lutte sur plage
et le niveau de la pratique
de cette discipline au Maroc.
Libé : Quel est le motif de votre visite à la ville d’El Jadida ?
Michel Dusson : La Fédération Royale marocaine des luttes associées a déposé sa candidature pour l’organisation du Championnat du monde de lutte sur plage pour l’année 2013. Ma visite rentre dans le cadre d’examiner les conditions d’organisation dans lesquelles se déroulera le Championnat du monde de beach-lutte. Si nous sommes ici au Maroc, c’est qu’on a de bonnes raisons de croire que l’organisation sera parfaite. On a déjà eu une première expérience avec la FRMLA à Marrakech lors du championnat d’Afrique des nations et de l’Océanie pour les qualificatifs aux J.O de Londres 2012.
Vous avez dit que l’organisation sera parfaite à El Jadida. Sur quel critère vous vous-êtes basé?
Dans ce sens, il y a plusieurs critères D’abord, El Jadida est une station balnéaire très connue, il y a des hôtels de haut standing, la restauration est excellente, l’accueil est chaleureux, la plage est excellente. Ensuite, le Maroc est une terre d’accueil qui a toujours honoré ses engagements. Je pense que les lutteurs des cinq continents passeront un séjour agréable à El Jadida.
Que pensez-vous de la lutte au Maroc ?
Ce sport a connu des moments de gloire au Maroc. Il y avait de grands lutteurs surtout dans la lutte gréco-romaine au temps du président Haj El Oufir. Je souhaite qu’avec ce nouveau bureau dirigeant ambitieux, la lutte marocaine retrouvera ses lustres d’antan.
Comment est venue l’idée du beach-lutte?
C’est la mode, il y a beach-foot, beach-volley, etc. Mais le point essentiel, c’est d’intéresser les estivants à ce sport et notamment les petits enfants qui sont en vacances dans les plages et comme ça, une fois, rentrés à la maison, ils vont inciter leurs parents à les inscrire dans les clubs de lutte.
Est-ce-que vous avez eu des contacts à El Jadida avec des hauts responsables à ce sujet?
Bien entendu après avoir visité la ville, sa plage et tous les sites qui concernent la compétition, j’ai eu des contacts avec les autorités. Tout le monde est prêt à coopérer avec la FRMLA dans le but de faire réussir cette manifestation qui rassemblera 250 à 300 lutteurs représentant 50 pays.