-
Les oubliés de l'école marocaine
-
Driss Lachguar reçoit les dirigeants des partis de Palestine, du Koweït et de Libye
-
La portée stratégique de la régionalisation avancée exige une implication accrue de tous les acteurs dans le processus de concertation et de dialogue constructif
-
La Chambre des représentants et le Haut Conseil d'Etat libyens s'accordent sur la phase préliminaire des échéances électorales
-
Crise libyenne : Nasser Bourita souligne la nécessité impérieuse de s'imprégner de l'"esprit de Skhirat"
Maintenant, qu’en est-il du mode d’élection du Premier secrétaire du parti?
Pour rappel, la question a été inscrite au centre de l’agenda du huitième congrès, suscitant un débat passionné et néanmoins passionnant au sein des militantes et militants ittihadis.
Sur cette question, apprend-on auprès du Bureau politique de l’USFP, les avis restent partagés. Des membres du Bureau politique ont opté pour le mode de scrutin ayant prévalu lors du huitième congrès, c’est-à-dire « l’élection du Premier secrétaire directement par les congressistes », à condition de lui conférer « le droit de choisir lui-même l’équipe avec laquelle il souhaiterait travailler ». Certains militants avaient vu dans ce mode de scrutin le moyen de renforcer la position du Premier secrétaire et consolider le mode présidentiel au sein du parti ». En revanche, d’autres avis ont opté pour le maintien des « acquis réalisés lors du huitième congrès », appelant à ne pas centrer l’opération organisationnelle sur la seule personne du Premier secrétaire et ses adjuvants.
Une chose, cela étant, reste sûre : les membres du Bureau politique ont été unanimes à souligner la nécessité de « préserver les acquis du huitième congrès et prêter attention à d’autres niveaux de la réforme de la prestation et des outils du parti ».
Cela dit, le débat n’est pas clos. Le sujet sera discuté vendredi prochain, dans le cadre de la commission préparatoire du prochain Colloque national sur l’organisation du parti.