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Des enfants sahraouis maltraités lors des troubles de Laâyoune, il y en a eu. Il ne s'agissait pas d’enfants pris au hasard, mais de 130 orphelins internes au centre régional de la Ligue marocaine pour la protection de l'enfance. Ce Centre a été l'objet d’une attaque perpétrée par des hordes sauvages qui ont pillé et mis à feu plusieurs bâtiments publics et privés. Ceux-là mêmes qui ont tué des éléments des forces de l'ordre et mutilé des centaines d'innocents à travers les quartiers de la ville. Ceux-là-mêmes qui étaient encadrés et dirigés par des officiers algériens et des éléments de la nébuleuse Al Qaïda. Ceux-là mêmes qui, sous le couvert de soi-disant revendications sociales, ont entraîné dans leur sillage des milliers de paisibles citoyens, poussés par leur naïveté et cupidité.
Ces barbares n'ont pas hésité à s'attaquer à une institution censée protéger l'enfance.
Dans la matinée du lundi noir, ces hordes se sont attaquées à l'institution où la protection était assurée par les seules nurses.
Traumatisant les pauvres bébés innocents, saccageant le mobilier, mettant le feu aux véhicules et pillant des fonds destinés aux salaires des bonnes femmes qui veillaient au bien-être des enfants âgés de 3 à 8 ans.
Les Espagnols qui avaient utilisé toutes sortes de stratagèmes pour se trouver à Laâyoune au moment des évènements dont ils connaissaient la date et les détails pour avoir été informés par ceux qui les avaient initiés et diaboliquement préparés. Ces Espagnols journalistes de surcroît, ont-ils feint d'ignorer l'existence d'une institution où étaient élevés des orphelins marocains natifs de Laâyoune, pour publier des photos de bébés palestiniens?
Pourquoi ces Espagnols et leurs alliés barbares n'ont-ils pas photographié ces enfants ? La réponse coule de source : parce que ces enfants sont victimes des hordes qu'ils soutiennent et qu'il fallait passer sous silence les sévices qu'ils ont fait subir à des enfants que la vie n'a pas gâtés pour ne pas dévoiler leur nature criminelle et le peu de cas qu'ils font des droits, fussent-ils de l'Homme.
Que ceux qui croyaient la désinformation révolue avec la chute du Mur de Berlin et la fin de la guerre froide se rassurent. Tant que la Perestroïka n'a pas touché l'Algérie et ses généraux et tant qu'il existe des plumitifs prêts à publier n'importe quel mensonge moyennant rétribution, la désinformation aura encore de beaux jours devant elle.