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A Barcelone, première étape d’une tournée qui concernera bien d’autres villes européennes dans un premier temps, le Premier secrétaire de l’USFP a, en particulier, déclaré devant des dizaines de militants et de sympathisants que l’actuel gouvernement est incapable de mettre en œuvre les dispositions de la nouvelle Constitution, ajoutant que deux années après son investiture, il n’a toujours pas procédé à la promulgation de lois organiques allant dans ce sens. «Les Marocains du monde, a poursuivi Driss Lachgar, s’en trouvent également concernés puisque de nombreux articles de la Constitution se rapportent à leur quotidien politique, social et économique».
Lors de cette rencontre organisée dans la capitale catalane, sous le thème «Les Marocains du monde et la mise en œuvre du contenu de la nouvelle Constitution», le Premier secrétaire a affirmé que le groupe socialiste au Parlement a décidé de présenter un projet de loi organique en vue de l’opérationnalisation des articles constitutionnels qui concernent les Marocains du monde.
L’autre sujet d’actualité qui concerne au premier plan tous les Usfpéistes est celui de notre intégrité territoriale et les derniers développements déclenchés par une énième prise de position irréfléchie et insensée de la part des gouvernants algériens.
Driss Lachgar a qualifié, à ce propos, le message adressé à Abouja par Bouteflika d’«irresponsable » et qu’il « rappelle les années 70 du siècle dernier quand les positions de la partie algérienne étaient dictées par les intérêts des superpuissances durant la guerre froide qui a pris fin avec la fin de l’Union soviétique ». Et de rappeler que le Maroc n’a cessé de présenter des propositions pour une solution au Sahara qui aurait l’aval de toutes les parties, en acceptant l’idée du référendum, ou en faisant la proposition d’une régionalisation élargie ou encore celle de l’autonomie considérée par nombre de grandes puissances de sérieuse, de crédible et donc de réalisable pour peu que les autres parties concernées fassent preuve de bonne foi.
Driss Lachgar a, par ailleurs, rappelé la campagne médiatique algérienne orchestrée contre le Maroc visant les fondamentaux de notre pays. Agissements qui s’ajoutent à bien d’autres dont ces étranges prises de position au sein des instances internationales.
Le régime algérien n’a pas manqué non plus de chercher à exploiter la toute dernière visite au Sahara de Christopher Ross en incitant des éléments séparatistes à perpétrer des actes de violence et de vandalisme dans le but d’influencer la position de l’émissaire onusien. La patience du Maroc est en passe de toucher à sa fin. L’opinion publique nationale n’est plus en mesure de supporter les agissements d’Alger qui cherche à détourner l’attention de ses problèmes et crises, quitte à le faire au détriment des causes sacrées du Maroc.
La délégation ittihadie dont font également partie Abdelmaksoud Rachdi, membre du Bureau politique et Aziz Darouich de la commission administrative nationale s’est par la suite rendue à Toulouse où elle a rencontré bien de ressortissants marocains, et à leur tête, Ittihadies et Ittihadis, entre ouvriers, cadres, ingénieurs, étudiants et autres lauréats de grandes écoles.
Il s’en est suivi un échange fructueux autour des prises de position algériennes et du gouvernement marocain actuel qui réunit désormais en son sein des parties qui, hier encore, se livraient à une guerre sans merci. Dans cette ville qui constitue le fief des socialistes français, il a été convenu de la création d’une section de l’USFP.
Après Toulouse, la délégation s’est rendue en Belgique, à Bruxelles et Liège notamment. La capitale italienne Rome devra constituer la prochaine étape pour le Premier secrétaire et les dirigeants qui l’accompagnent, en attendant Paris et le Congrès régional de l’USFP-France.