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Les allégations relayées par des réseaux sociaux prétendant que ''certains éléments des forces auxiliaires à Imzouren ont menacé d’abandonner leurs postes de manière collective’’, sont fausses et infondées et émanent d’individus qui cherchent à induire l’opinion publique nationale en erreur, affirme jeudi le ministère de l’Intérieur.
‘’Certaines pages sur les réseaux sociaux ont rapporté des allégations erronées et de fausses assertions au sujet de certains éléments des forces auxiliaires à Imzouren qui ont menacé d’abandonner leurs postes de manière collective’’, indique le ministère dans un communiqué.
‘’Ce qui a été relayé est infondé, n’est qu’un mensonge manifeste et une fabrication insidieuse de faits et d’évènements, et fait partie des desseins de certains individus cherchant à induire l’opinion publique nationale en erreur’’, souligne la même source.
Condamnation
La Cour d’appel de Rabat a rejeté, mercredi, la demande de mise en liberté provisoire, présentée par la défense de "H.D" condamné en première instance à deux ans de prison ferme, pour conduite en état d’ivresse et défaut d’assurance automobile.
La Cour a également décidé de reporter l’examen du dossier au 20 septembre prochain. La Chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Rabat a condamné l'accusé, le 8 mai, à une peine de deux ans de prison ferme assortie d'une amende de 20.000 DH.
Le prévenu était poursuivi aux côtés de quatre autres personnes, dont deux policiers, pour "faux en écriture authentique", "modification des preuves d’un accident de circulation" et "délit de fuite".
Le juge d’instruction près la Cour d’appel à Rabat avait ordonné, le 21 avril dernier, le dépôt à la prison locale de Salé des 5 personnes, parmi lesquelles figurent un officier, un inspecteur de police et le propriétaire d’un hôtel.
Grève de la faim
La grève de faim entamée depuis le 16 février 2017 par un détenu de la prison locale d'Aït Melloul n’a aucun lien avec ses conditions de détention, mais en raison de l'affaire pour laquelle il est incarcéré, a indiqué la Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR).
La DGAPR a souligné dans un communiqué qu’une vidéo dans laquelle apparaît ce détenu, qui a écopé de 10 ans de prison ferme pour "avoir participé à un accord préalable pour exporter de la drogue", laquelle circulait dernièrement dans certains sites, a été filmée lors de son hospitalisation à l'hôpital provincial d'Inezgane durant la période allant du 17 au 20 février 2017.
L’administration de l’établissement pénitentiaire, le parquet et la commission régionale des droits de l'Homme d'Agadir n’ont ménagé aucun effort pour convaincre le détenu de mettre fin à sa grève, mais ce dernier campe toujours sur sa position, a conclu le communiqué.