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Un Marocain résidant en Espagne a été placé en détention provisoire jeudi par un juge, soupçonné d'avoir coordonné un réseau recrutant des jihadistes au Maroc pour le groupe Etat islamique, à destination de l'Irak et de la Syrie.
Abdeladim Achriaa, qui résidait en Espagne depuis plusieurs années, et dont un des profils Facebook fait apparaître le pseudonyme "Salami Jihadi", a été arrêté par la police espagnole mardi à San Martin de la Vega, à 30 km au sud de Madrid.
"Abdeladim coordonnait les membres d'une filière irako-syrienne de l'Etat islamique déployée dans plusieurs villes du Maroc", a écrit le juge Juan Pablo Gonzalez après avoir interrogé le suspect.
Il l'a placé en détention au motif provisoire de "terrorisme".
L'arrestation a eu lieu dans le cadre d'une opération conjointe avec la police marocaine, celle-ci ayant arrêté 13 personnes dans les villes de Fès, Casablanca, Nador, Al Hoceïma et Driouch.
Interdiction
La récolte et la commercialisation des coquillages issus des zones conchylicoles classées Cap Bedouza et Sidi Daoud (régions de Safi et d'El Jadida) sont interdites en raison de la présence de biotoxines marines dans ces coquillages, a annoncé le département de la Pêche maritime.
Les résultats d'analyse effectuées par l'Institut national des recherches halieutiques (INRH) au niveau des zones conchylicoles classées Cap Bedouza et Sidi Daoud, relevant respectivement des régions de Safi et d'El Jadida, dénotent la présence de biotoxines marines dans les coquillages à des teneurs anormales, précise jeudi un communiqué du département de la Pêche maritime.
A la lumière desdits résultats, il a été décidé d'interdire la récolte et la commercialisation des coquillages issus des zones citées et ce jusqu'à épuration totale du milieu, ajoute la même source.
En conséquence, le département recommande aux consommateurs de ne s'approvisionner qu'en produits conditionnés, portant les étiquettes sanitaires d'identification et commercialisés dans les points de vente autorisés (marchés officiels), précisant que les coquillages colportés ou vendus en vrac "ne présentent aucune garantie de salubrité et constituent un danger pour la santé publique".