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Google Now
Google Now se veut désormais beaucoup plus polyvalent en accueillant au sein de ses sources 70 applications tierces supplémentaires. En janvier déjà, l’assistant intelligent du moteur de recherche pouvait déjà piocher dans une quarantaine d’apps.
Cet apport de contenus complémentaires va par exemple permettre aux utilisateurs d’obtenir l’affichage de cartes Zipcar (voitures de location), consulter des listes de lecture personnalisées de Spotify, TuneIn et même YouTube, voir des alertes provenant de Feedly ou ABC News, de tenir ses objectifs sportifs via des cartes Jawbone, Runkeeper ou Adidas…
Bref, c’est tout un nouveau monde que l’on pourra consulter au travers de Google Now qui les proposera automatiquement, selon le contexte et les préférences de l’utilisateur. De quoi rendre un peu plus indispensable encore ce service plutôt bien développé et utile.
Panasonic
En cinquante minutes de conférence de presse, mardi à Tokyo, Kazuhiro Tsuga, le PDG de Panasonic, aura pris soin de répéter à trois reprises que son groupe n’était plus obsédé par une poussée de ses ventes mais se focalisait désormais surtout sur la profitabilité. « Nous ne courons pas après les volumes », a-t-il martelé après avoir présenté les résultats de l’exercice fiscal achevé en mars.
D’ailleurs, le chiffre d’affaires du géant de l’électronique a reculé de
3 % sur un an, à 7.715 milliards de yens (59 milliards d’euros). Et ce malgré la chute du yen, qui gonfle les résultats réalisés à l’étranger dans d’autres devises. Mesurées en monnaies locales, les ventes ont baissé dans presque toutes les régions, à l’exception de l’Asie, où elles se sont stabilisées. Au Japon, où Panasonic génère encore 48 % de son chiffre d’affaires, la hausse de la TVA en avril dernier a entraîné un recul des ventes de 5 %. « Nous avons réduit le nombre de nos divisions en stoppant des activités non profitables. Cela a eu un impact », précise le dirigeant
Google Now se veut désormais beaucoup plus polyvalent en accueillant au sein de ses sources 70 applications tierces supplémentaires. En janvier déjà, l’assistant intelligent du moteur de recherche pouvait déjà piocher dans une quarantaine d’apps.
Cet apport de contenus complémentaires va par exemple permettre aux utilisateurs d’obtenir l’affichage de cartes Zipcar (voitures de location), consulter des listes de lecture personnalisées de Spotify, TuneIn et même YouTube, voir des alertes provenant de Feedly ou ABC News, de tenir ses objectifs sportifs via des cartes Jawbone, Runkeeper ou Adidas…
Bref, c’est tout un nouveau monde que l’on pourra consulter au travers de Google Now qui les proposera automatiquement, selon le contexte et les préférences de l’utilisateur. De quoi rendre un peu plus indispensable encore ce service plutôt bien développé et utile.
Panasonic
En cinquante minutes de conférence de presse, mardi à Tokyo, Kazuhiro Tsuga, le PDG de Panasonic, aura pris soin de répéter à trois reprises que son groupe n’était plus obsédé par une poussée de ses ventes mais se focalisait désormais surtout sur la profitabilité. « Nous ne courons pas après les volumes », a-t-il martelé après avoir présenté les résultats de l’exercice fiscal achevé en mars.
D’ailleurs, le chiffre d’affaires du géant de l’électronique a reculé de
3 % sur un an, à 7.715 milliards de yens (59 milliards d’euros). Et ce malgré la chute du yen, qui gonfle les résultats réalisés à l’étranger dans d’autres devises. Mesurées en monnaies locales, les ventes ont baissé dans presque toutes les régions, à l’exception de l’Asie, où elles se sont stabilisées. Au Japon, où Panasonic génère encore 48 % de son chiffre d’affaires, la hausse de la TVA en avril dernier a entraîné un recul des ventes de 5 %. « Nous avons réduit le nombre de nos divisions en stoppant des activités non profitables. Cela a eu un impact », précise le dirigeant