-
Les bidasses d'Alger accouchent d'une ânerie de trop: Le visa pour tout Marocain désireux de se gargariser de "l'Eldorado" algérien
-
Partenariat Maroc-ONUCT. Un engagement continu pour la sécurité et la stabilité en Afrique
-
Le PM palestinien salue les efforts soutenus de Sa Majesté le Roi en faveur de la cause palestinienne
-
Mise en avant à New York de la vision de SM le Roi pour le développement de la coopération Sud-Sud
-
Le CSEFRS publie son rapport annuel au titre de l'année 2023
Le juge d’instruction chargé des affaires de terrorisme près l’annexe de la Cour d’appel à Salé a décidé, vendredi, d’accorder la liberté provisoire en faveur du journaliste Ali Anouzla, détenu depuis près d’une quarantaine dans la prison de Salé. Arrêté après sa publication sur son site électronique Lakome d’un lien d’une vidéo attribuée à l’AQMI, Ali Anouzla a quitté la prison, après que son avocat Me Hassan Semlali ait terminé les procédures administratives. Le procès de cette affaire a été reporté au mercredi 30 octobre.
Interpellation
Cinquante-sept candidats à l'émigration illégale ont été interpellés ce vendredi au niveau de la côte nord de Tanger, indique un communiqué de la Wilaya de Tanger. La même source précise que ces candidats à l'émigration illégale, munis de moyens de nage de fortune et de cinq embarcations pneumatiques, ont été interceptés grâce au renforcement du dispositif mis en place le long du littoral nord du Royaume.
Condamnation
L’adolescent marocain, Soufiane I, a été condamné vendredi à trois mois de prison ferme par un tribunal de Casablanca pour avoir menacé de mort le président américain Barack Obama sur le réseau social Twitter, a-t-on appris de sources judiciaires. Âgé de 17 ans, Soufiane I. a été reconnu coupable de "crime électronique" et d'"appel à la violence en utilisant des médias électroniques", pour avoir posté l'an dernier un tweet dans lequel il menaçait de mort M. Obama.
"Je tuerai votre président et toutes les personnes qui seront en sa compagnie. C'est ce que je ferai lorsque j'arriverai aux États-Unis le mois prochain", avait écrit l'adolescent, ensuite interpellé par la police judiciaire de Casablanca, rapporte l’AFP.
Les audiences se déroulaient à huis clos. Mais il n'a pas été possible en revanche à ce stade du procès de savoir si les avocats du jeune homme entendaient faire appel du jugement.