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mixte maroco-omanaise
Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita, copréside à Mascate avec son homologue omanais, Youssef Bin Alawi, les travaux de la 5ème commission mixte maroco-omanaise (6-7 janvier).
Créée en 1995, la Commission était présidée par des ministres de départements techniques. Il s'agit de sa première réunion sous la présidence des ministres des Affaires étrangères des deux pays.
La Commission avait tenu sa dernière session en décembre 2010 sous la présidence du ministre marocain de l'Emploi et de la Formation et son homologue omanais.
Cette session, marquée par la participation des représentants des secteurs des deux pays, débattra des moyens de développer la coopération bilatérale dans différents domaines économiques, culturels et de l'éducation.
Elle constituera également l'occasion d'échanger les points de vue sur des questions régionales et internationales d'intérêt commun.
Sanctions disciplinaires à la
préfecture de police de Marrakech
Le directeur général de la sûreté nationale a décidé des sanctions disciplinaires allant de la suspension provisoire de travail au blâme ou encore l'avertissement à l'encontre de quatre responsables de la préfecture de police de Marrakech pour manquements aux obligations professionnelles et pour ne pas avoir pris les mesures préventives nécessaires à la préservation des données personnelles d'un individu qui faisait l'objet d'une enquête préliminaire sur un accident de la circulation.
Il s'agit d'un commissaire de police divisionnaire, d'un commissaire principal, d'un officier de paix principal et d'un officier de paix, indique dimanche un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), précisant que ces sanctions disciplinaires interviennent suite à l'enquête administrative diligentée par l'Inspection générale sur instructions du directeur général de la sûreté nationale.
L'enquête, ajoute le communiqué, a déterminé de manière précise les fautes imputées auxdits responsables sécuritaires, à savoir le manque de rigueur dans la protection des données personnelles d'individus qui font l'objet de procédures et investigations judiciaires.