Divers Economie

La dette du Trésor s’élève à 702,3 MMDH à fin février

La dette du Trésor s’est chiffrée à 702,3 milliards de dirhams (MMDH) durant les deux premiers mois de l’année 2018, a indiqué la Direction du Trésor et des finances extérieures (DTFE) qui relève du ministère de l’Economie et des Finances.
La dette intérieure s’est chiffrée à près de 550,64 MMDH et celle extérieure à environ 151,70 MMDH à fin février, souligne la DTFE dans un communiqué sur la situation de l’endettement du Trésor et des remboursements du service de la dette à fin février 2018. Pour leur part, les remboursements au titre du service de la dette du Trésor, effectués durant le dernier mois de février, se sont élevés à près de 15,7 MMDH, dont 14,63 MMDH de dette intérieure et 1,04 MMDH de dette extérieure. Le cumul de ces remboursements à fin février 2018 s’est, quant à lui, chiffré à 22,6 MMDH dont plus de 18,18 MMDH au titre des remboursements en principal et 4,43 MMDH d’intérêts, selon la même source.

Rencontre entre Miriem Bensalah Chaqroun et une délégation de Fitch Ratings

Mme Miriem Bensalah Chaqroun, présidente de la Confédération générale des entreprises du Maroc, a reçu jeudi 15 ans au siège de la CGEM, la délégation de l’agence de notation financière Fitch Ratings.
Cette rencontre à laquelle ont pris part plusieurs membres du Conseil d’administration de la Confédération, s’inscrit dans le cadre de la visite de Fitch Ratings au Maroc pour la révision biannuelle de la notation du pays.
Lors de cette séance de travail,  la présidente de la CGEM a présenté l’appréciation de la Confédération du contexte économique du Maroc, des réformes en cours ainsi que des différents obstacles auxquels font face les entreprises au quotidien. Elle a également évoqué les leviers à activer pour booster le développement économique, notamment ceux liés à l’éducation, à la formation professionnelle ainsi qu’à l’amélioration des délais de paiement.  Pour rappel, Fitch Ratings avait octroyé, au Maroc en octobre 2017, la note de « BBB-stable ». Une notation qui mériterait d’être améliorée tenant compte de la croissance économique que connaît le pays, de ses fondamentaux stables ainsi que des stratégies sectorielles qui commencent à porter leurs fruits.