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Dans une quatrième vidéo, il y accuse les responsables du parti d’avoir incorporé «des entremetteuses et des fraudeurs» dans la liste électorale du parti, lors des élections du 4 septembre dernier. Il assure que l’actuel maire de Tétouan aurait défendu, autant que faire se peut, une femme connue pour ses pratiques immorales et ayant même été expulsée par les habitants d’un quartier de la ville. «Cette femme, dit-il, avait été même expulsée par les habitants de son quartier pour des actes contraires à la bienséance et à la morale publique ».
Il ne fronce pas les sourcils et se dit même prêt à apporter tous les éclaircissements nécessaires au cas où une enquête judiciaire serait menée sur cette affaire. Il va très loin en déclarant que les victimes de « cette entremetteuse » sont connues.
Il n’a pas omis de remettre en cause l’attitude de ses frères au sein de la direction du parti et qui sont restés sans réaction, selon lui, face à cette situation. Il s’est même interrogé sur «les circonstances dans lesquelles l’actuel maire a convaincu les dirigeants du parti». Boukhobza ne semble pas se contenter de cette vidéo, il a promis de revenir sur d’autres affaires dévoilant le vrai visage de ses frères.
Face à cette liberté de ton rare chez les frères du chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane aurait décidé de suspendre toutes les responsabilités régionales et nationales d’Amine Boukhobza, l’une des figures charismatiques du PJD dans le Nord du Royaume.