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Pour le député européen Jan Zahradil, "le Royaume du Maroc est le pays le plus stable et le plus fiable de la région", appelant à "éviter toute mesure menaçant son intégrité territoriale" et à "isoler les forces séparatistes, compromettant la sécurité régionale".
Le député portugais Luis Leite Ramos a, pour sa part, souligné que «les relations entre le Portugal et le Maroc sont stratégiques pour notre avenir commun». «Le Maroc est un pays ami et un partenaire commercial et géostratégique unique. L'UE doit assurer la continuité de la coopération et consolider le partenariat UE/Maroc pour une prospérité partagée», a-t-il affirmé dans un tweet.
Paulo Neves, député portugais, a, de son côté, appelé son pays à adopter «une position très claire dans cette question impliquant l’Union européenne et le Maroc, en raison du Sahara». Le Maroc, a-t-il dit, est «un pays hautement stratégique pour le Portugal et les entreprises portugaises. C’est un pays voisin et ami et plein d’opportunités aussi bien pour le Portugal que pour tout le continent européen, que ce soit en matière économique, diplomatique et aussi – et c’est le plus important- en matière de sécurité».
«C’est pourquoi toutes les questions impliquant le territoire marocain et le gouvernement marocain devraient toujours mériter une attention particulière et une solution consensuelle. Après tout, le Maroc est un pays ami», a-t-il ajouté.
De son côté, le politologue espagnol, Pedro Ignacio Altamirano, a appelé à mettre fin aux agissements du groupe séparatiste du Polisario qui menace les intérêts de l’Europe et la sécurité de la région. «L’Union européenne doit agir pour mettre fin aux agissements de ce groupe terroriste qui menace ses intérêts stratégiques», a-t-il plaidé.
Le tribunal de l'Union européenne a rendu, mercredi dernier, son jugement en première instance concernant le recours en annulation des décisions du Conseil européen au sujet des accords agricole et de pêche avec le Maroc. La juridiction européenne a annulé ces accords "en maintenant leurs effets pendant une certaine période afin de préserver l'action extérieure de l'Union européenne et la sécurité juridique de ses engagements internationaux", lit-on dans le communiqué de presse du tribunal rendant compte de son jugement.
Suite à cette décision, le Maroc et l'Union européenne ont rendu publique une Déclaration conjointe dans laquelle ils affirment rester "pleinement mobilisés" pour continuer leur coopération bilatérale et unis pour défendre la sécurité juridique de leurs accords de partenariat. «Nous restons pleinement mobilisés pour continuer la coopération entre l’Union européenne et le Royaume du Maroc, dans un climat de sérénité et d’engagement, afin de consolider le partenariat euro-marocain de prospérité Partagée, lancé en juin 2019», selon la Déclaration conjointe.