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Au cours des dernières années, plusieurs particuliers ont réussi à mettre en orbite des engins de leur fabrication en utilisant des ballons. Toutefois, une fois lancé, ceux-ci restent peu de temps dans l’espace, sans oublier qu’il est difficile de les localiser. Mais les hackers ont leur petite idée. Ainsi, Armin Bauer, 26 ans qui soutient le projet depuis son domicile de Stuttgart, travaille actuellement sur une infrastructure qui permettrait aux différentes parties du dispositif de communiquer.
Concrètement, il pense user d’un réseau distribué de stations terrestres low-cost, achetées ou construites par des particuliers qui toutes connectées permettraient de localiser un satellite. Soit un fonctionnement inverse à celui du GPS, commente l’informaticien.com. Trois prototypes de stations au sol ont été annoncées pour mi-2012 mais les hackers espèrent en vendre quelques-unes «sans faire de profit» et pour un prix de 100 euros l’unité.
Par ailleurs, si les experts admettent que le projet est réalisable, ils mettent en évidence une autre difficulté. Placé sur une orbite basse, un satellite ne reste pas en place. Un mouvement constant qui pourrait être évité si l’engin est placé en orbite haute. Mais là encore, autre problème : s’il est plus éloigné, le satellite mettrait plus de temps à renvoyer un signal, d’où des délais potentiellement plus importants.
Néanmoins, le projet fou des hackers ne s’arrête pas là, puisqu’ils espèrent également envoyer un astronome amateur sur la Lune, du moins d’ici les 23 prochaines années.