-
En flagrante collusion avec le terrorisme au Mali : Alger le pompier pyromane de service
-
Le Général de Corps d'Armée, Inspecteur Général des FAR et Commandant la Zone Sud reçoit le Conseiller de SA l’Emir du Qatar aux affaires de défense
-
SM le Roi échange des messages de félicitations avec des chefs d’Etat et de gouvernement de pays frères et amis à l’occasion du Nouvel An
-
L’OMDH plaide pour la mise en place d’un Code de la famille assurant justice et égalité des droits entre hommes et femmes
-
Les défis du projet de loi sur la grève au Maroc
Ainsi, les frais de visas visiteurs délivrés pour les affaires et le tourisme (B1/B2 et BCC), et les autres demandes de visas de non-immigrants non basées sur des requêtes tels que les visas étudiants et ceux délivrés dans le cadre de programmes d’échange, passeront de 160 à 185 dollars, indique le département d’Etat dans une note aux médias.
Les frais concernant certains visas de non-immigrants basés sur des requêtes pour les travailleurs intérimaires (catégories H, L, O, P, Q et R) passeront de 190 à 205 dollars, alors que les frais pour les négociants et les investisseurs au titre d’un traité et les demandeurs de traité dans une profession spécialisée (catégorie E) vont augmenter de $205 à $315, selon la règle finale du département d'Etat sur les augmentations des frais de visas non-immigrants publiée au Federal Register le 28 mars dernier.
Il s'agit de la première augmentation des frais pour les visas B1/B2, les plus demandés au Maroc, depuis 2012, selon un communiqué de l’ambassade des Etats-unis à Rabat.
Cette règle, qui entre en vigueur le 30 mai courant, n’affecte pas d’autres frais consulaires, y compris la dispense de frais de résidence de deux ans exigés pour certains visiteurs participant à des programmes d’échange.