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"On a déjà pris la décision que le futur de la Coupe du monde est à 48, on pense tous que c'est une bonne idée", a observé Infantino sur le plateau de l'émission de TF1.
Dès 2022? "Ce n'est pas simple parce qu'elle se jouera sur 28 jours, contre 31 pour une Coupe du monde normale. Si c'est faisable, qu'il y a suffisamment d'infrastructures, de stades, on prendra une décision au mois de mars", lors de la prochaine réunion du Conseil de la Fifa à Miami, a-t-il ajouté, comme il l'avait indiqué début novembre à quelques médias, dont l'AFP.
Quant à savoir si le Mondial pouvait être accueilli par d'autres pays, Infantino a expliqué: "Pourquoi pas, si c'est faisable. On est en train de discuter avec le Qatar sur ce point-là, on pourrait imaginer que quelques matches soient joués sur des pays limitrophes... Pourquoi pas rêver, ce n'est pas impossible".
"Si ce n'est pas possible, on jouera une magnifique Coupe du monde à 32 et si c'est possible, on jouera une magnifique Coupe du monde à 48", a encore déclaré Infantino.
"Quelles sont les chances ? Certainement petites, mais qu'y a-t-il de mal à discuter?", s'était-il interrogé début novembre.
Candidat à sa réélection à la tête de l'instance dirigeante du football mondial, en juin 2019 à Paris, M. Infantino multiplie les propositions controversées (notamment une Coupe du monde des clubs élargie et une Ligue mondiale des nations) pour enrichir un bilan qui ne fait pas l'unanimité.
Une étude de faisabilité sur le passage du Mondial à 48 équipes dès 2022 est actuellement menée par l'administration de la Fifa.