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Il nous a quittés dimanche. Le Jour de Dieu, Mohamed Kadimi a, en effet, rendu l'âme en cours d'après-midi, terrassé par une longue maladie contre laquelle nulle médication n'est arrivée à bout. Il est mort dans la fleur de l'âge en laissant derrière lui une famille éplorée et une rédaction qui n'oubliera jamais son professionnalisme, sa constante disponibilité et sa profonde gentillesse.
Treize années durant, le regretté avait donné quotidiennement le meilleur de lui-même à notre journal.
En militant convaincu d'un métier qui fait partie intégrante des mécanismes qui accompagnent l'épanouissement de la démocratie et des droits de l'Homme, il avait passé le plus clair de son temps à décrypter le cours des évènements pour en comprendre les flux et les reflux.
Homme de convictions, le regretté avait rejoint Libé au terme de ses études supérieures et y a fait partie de la génération de journalistes qui ont fait le vœu d'anoblir l'exercice de la profession malgré les contingences et les difficultés auxquelles cet exercice se heurte parfois.
Mohamed Kadimi a tiré sa révérence, alors qu'il voulait encore croquer la vie à pleines dents. Comme tous les soutiers de l'Histoire que sont les vrais journalistes, il souhaitait encore faire mieux et plus.
A l'article de sa mort, nous ne pouvons que lui dire adieu, les larmes aux yeux et la peine au cœur.
En cette douloureuse circonstance, nous présentons nos condoléances les plus émues à sa femme, à ses filles Salma et Sofia, à ses parents, à ses frères et sœurs ainsi qu'à l'ensemble des membres de sa famille.
Puisse Dieu avoir le regretté en Sa sainte miséricorde.
Nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.