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Entamés dès jeudi matin, les travaux entendent exposer des solutions. Experts nationaux et internationaux, les intervenants de toutes les disciplines des sciences humaines tentent d’apporter, chacun de son côté, une pierre à l’édifice, l’objectif étant d’aboutir à des procédures appropriées à même de mettre en application les termes de la loi sur la Kafala.
En effet, le collectif ne lésine pas sur le verbe. Le débat sur la « loi de la Kafala », selon lui, s’impose et les composantes sociétales doivent mettre la main à la patte ; toute une société en attend des résolutions. Il ne fait aucun de doute, la Kafala reste le seul système de protection légal alternatif au profit des enfants sans protection familiale.
Par là, les participants devront se pencher sur plusieurs questions liées à la thématique globale, essentiellement les lacunes constatées, entre autres, le manque de formation tant des couples aspirants à la Kafala que des enfants qui seront pris en charge, l’insuffisance de protection de l’enfant et de ses parents, l’absence de procédures homogènes sur le territoire national …
Autant de lacunes et de handicaps qui font que l’enfant «makfoul» (adopté) n’a pas les mêmes droits que l’enfant biologique, et risque de se retrouver discriminé au sein de la famille et de la société. Le débat qui est ainsi axé sur l’intérêt supérieur de l’enfant, vise à stimuler les discussions sur les enjeux de la Kafala, à démontrer l’importance et la nécessité d’une Kafala efficiente et pérenne.
A souligner que cette rencontre s’inscrit dans le cadre du projet « Plateforme CDE : projet de création d’une plateforme nationale pour le développement, la mise en œuvre et le suivi des politiques publiques en matière d’enfance, dans le respect de la CDE », cofinancé par l’Union européenne.