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De jeunes réalisateurs marocains ont appelé, jeudi à Doha, à soutenir leurs projets cinématographiques, à faire confiance à leurs capacités et à leur octroyer davantage d'opportunités pour libérer leur potentiel.
S'exprimant lors d'un conférence de presse tenue en marge de leur participation au programme "Made in Morocco" du Festival du film "Ajyal" (16-23 novembre), les intervenants ont souligné que ce soutien doit s'inscrire dans le cadre d'une coopération constructive et fructueuse entre tous les acteurs concernés, en vue de fournir aux jeunes l'accompagnement et le soutien matériel et moraux nécessaires.
A cet égard, les réalisateurs Anas Zemati, Zineb Wakrim et Dhiaa Biya, ont évoqué les défis auxquels le cinéma marocain est confronté, notamment en matière de préservation de l'identité marocaine, ce qui nécessite une coopération étroite entre les réalisateurs expérimentés et les novices afin de créer une industrie cinématographique qui valorise la culture, l'identité et les valeurs marocaines.
De même, ils ont salué le rôle du Centre Cinématographique Marocain (CCM) pour ses efforts visant le développement de l'industrie cinématographique dans le Royaume, aussi bien en termes de soutien financier qu'en veillant à la qualité des œuvres produites.
Les intervenants ont également rappelé que le CCM a lancé une stratégie de rajeunissement qui vise à permettre aux jeunes d'occuper des postes de responsabilité et de contribuer à la prise de décision, affirmant que cette politique portera ses fruits dans le temps et contribuera au développement du cinéma marocain.
Zineb Wakrim participe au Festival du film Ajyal avec son œuvre "Ayyur" qui raconte l’histoire de Hasna et Samad, deux personnages qui trouvant refuge dans le dessin pour échapper à un environnement austère. Le film se distingue par un contraste visuel captivant, explorant des thématiques telles que l’isolement, la résilience et la quête d’espoir au milieu des difficultés.
Dhiaa Biya est présente avec son film "Que pousse dans la paume de ta main ?", une œuvre intime explorant la relation entre Hayat et sa défunte grand-mère. Le film offre une réflexion profonde sur la manière dont les petits moments du quotidien maintiennent la présence de nos êtres chers même après les avoir perdus.
Quant à Anas Zemati, il prend part à cet événement avec le film "L'épouvantail", une histoire où Saïd, qui rêve d’un avenir meilleur avec sa bien-aimée Zineb, se heurte à ses peurs de l’inconnu. Alors qu’ils envisagent de fuir une réalité difficile, leurs craintes deviennent un obstacle à la réalisation de leurs aspirations. Ce film est une méditation sur le courage nécessaire pour embrasser le changement et affronter l’incertitude.
En plus de ces films, le Maroc est représenté au festival par trois autres courts-métrages, à savoir "Pourquoi as-tu laissé le cheval à sa solitude ?" (France/2023) de Faouzi Bensaïdi, "Bye Bye Benz Benz" (France, Maroc/2023) de Jules Rouffio et Mamoun Rtal Bennani, ainsi que "Bouteilles" (Maroc/2024) de Yassine El Idrissi.
Le programme "Made in Morocco" du Festival Ajyal, développé en partenariat avec l'initiative de l'Année Culturelle Qatar-Maroc 2024 et le Festival International du court-métrage de Marrakech, met en lumière le patrimoine unique du Maroc à travers des récits personnels et collectifs reflétant la richesse et la diversité de la vie marocaine, tout en favorisant les échanges culturels et le dialogue entre les peuples.
S'exprimant lors d'un conférence de presse tenue en marge de leur participation au programme "Made in Morocco" du Festival du film "Ajyal" (16-23 novembre), les intervenants ont souligné que ce soutien doit s'inscrire dans le cadre d'une coopération constructive et fructueuse entre tous les acteurs concernés, en vue de fournir aux jeunes l'accompagnement et le soutien matériel et moraux nécessaires.
A cet égard, les réalisateurs Anas Zemati, Zineb Wakrim et Dhiaa Biya, ont évoqué les défis auxquels le cinéma marocain est confronté, notamment en matière de préservation de l'identité marocaine, ce qui nécessite une coopération étroite entre les réalisateurs expérimentés et les novices afin de créer une industrie cinématographique qui valorise la culture, l'identité et les valeurs marocaines.
De même, ils ont salué le rôle du Centre Cinématographique Marocain (CCM) pour ses efforts visant le développement de l'industrie cinématographique dans le Royaume, aussi bien en termes de soutien financier qu'en veillant à la qualité des œuvres produites.
Les intervenants ont également rappelé que le CCM a lancé une stratégie de rajeunissement qui vise à permettre aux jeunes d'occuper des postes de responsabilité et de contribuer à la prise de décision, affirmant que cette politique portera ses fruits dans le temps et contribuera au développement du cinéma marocain.
Zineb Wakrim participe au Festival du film Ajyal avec son œuvre "Ayyur" qui raconte l’histoire de Hasna et Samad, deux personnages qui trouvant refuge dans le dessin pour échapper à un environnement austère. Le film se distingue par un contraste visuel captivant, explorant des thématiques telles que l’isolement, la résilience et la quête d’espoir au milieu des difficultés.
Dhiaa Biya est présente avec son film "Que pousse dans la paume de ta main ?", une œuvre intime explorant la relation entre Hayat et sa défunte grand-mère. Le film offre une réflexion profonde sur la manière dont les petits moments du quotidien maintiennent la présence de nos êtres chers même après les avoir perdus.
Quant à Anas Zemati, il prend part à cet événement avec le film "L'épouvantail", une histoire où Saïd, qui rêve d’un avenir meilleur avec sa bien-aimée Zineb, se heurte à ses peurs de l’inconnu. Alors qu’ils envisagent de fuir une réalité difficile, leurs craintes deviennent un obstacle à la réalisation de leurs aspirations. Ce film est une méditation sur le courage nécessaire pour embrasser le changement et affronter l’incertitude.
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Le programme "Made in Morocco" du Festival Ajyal, développé en partenariat avec l'initiative de l'Année Culturelle Qatar-Maroc 2024 et le Festival International du court-métrage de Marrakech, met en lumière le patrimoine unique du Maroc à travers des récits personnels et collectifs reflétant la richesse et la diversité de la vie marocaine, tout en favorisant les échanges culturels et le dialogue entre les peuples.