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Il y a quelques jours, le juge en charge du dossier avait reporté la comparution du pédophile pour cause d’absence de la concernée.
Le 5 août, son père avait, rappelle-t-on, déposé plainte contre Daniel Galvan pour les abus sexuels dont sa fille a été victime en 2004 dans la localité de Torrevieja (Alicante, sud de l’Espagne) où le pédophile mis en cause résidait et travaillait comme traducteur d’arabe pour le compte de la Guardia Civil.
Selon le Tribunal supérieur de la justice de Valence, le témoignage de la fille est la seule preuve à même de permettre d’inculper ou de disculper le pédophile, car la plainte du père ne contient aucun élément d’information ou de preuve qui le mettrait directement en cause.
Le suspect sera ainsi auditionné par le juge ce samedi à 10h30, précise le quotidien « El Pais ». En revanche, l’avocat du pédophile, Manuel Maza, a présenté une pétition demandant l’arrêt des poursuites contre son client, car son dossier ne contient aucune preuve qui les justifie et que le mis en cause « ne sait rien des faits qui lui sont reprochés ».
Pour rappel, le pédophile espagnol avait été gracié récemment par le Maroc. Cette grâce lui a été retirée sitôt que l’erreur administrative qui l’avait motivée a été détectée.
Le Maroc avait également lancé un mandat d’arrêt international contre lui. Quelques jours après sa libération, Daniel Galvan a été appréhendé et écroué à Murcie.