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Le bureau de Sissi a déclaré dans un communiqué que le président avait insisté sur l'engagement de l'Égypte à "assurer l'unité et la cohésion des institutions nationales libyennes".
Il a également appelé à "la coordination entre toutes les parties libyennes pour mettre au point une feuille de route politique globale" en vue d'élections parlementaires et présidentielles attendues depuis longtemps. Le chef de l'Etat égyptien a déclaré samedi que "toutes les forces étrangères et les mercenaires doivent être expulsés du territoire libyen".
En Libye, les mercenaires russes ont appuyé le maréchal Haftar face au gouvernement d'unité nationale (GNU) du Premier ministre Abdelhamid Dbeibah basé à Tripoli, reconnu par l'ONU et soutenu par la Turquie.
La dernière visite du maréchal Haftar au Caire a eu lieu quelques mois avant la tenue d'élections parlementaires et présidentielles nationales, qui ont été retardées à plusieurs reprises en raison de désaccords sur leur cadre juridique.
La Libye, qui partage sa frontière orientale avec l'Égypte, peine à se remettre d'années de conflit après le soulèvement soutenu par l'OTAN en 2011 qui a mis fin à quatre décennies du régime sous Mouammar Kadhafi.
Le président Sissi a été un soutien clé du chef militaire dans le passé, bien qu'ils se soient retrouvés dans des camps opposés dans la guerre au Soudan, qui fait rage aux frontières sud des deux pays.
Le Caire a soutenu l'armée soudanaise, sous la direction du chef de l'armée Abdel Fattah al-Burhane, tandis que les analystes affirment que Khalifa Haftar a acheminé du carburant, des armes et des combattants aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) pour le compte des Émirats arabes unis.
Abou Dhabi, allié clé du président Sissi et du maréchal Haftar, a nié avoir approvisionné les FSR.