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Les mis en cause sont poursuivis pour " constitution d'une bande criminelle dans le but de commettre des actes terroristes dans le cadre d'un plan collectif visant à porter gravement atteinte à l'ordre public à travers la terreur et la violence, des activités au sein d'une association non autorisée et faux et usage de faux ".
Un communiqué du ministère de l'Intérieur avait annoncé le démantèlement en juin dernier de cette cellule dirigée par un ressortissant étranger portant la nationalité palestinienne, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme.
Cette cellule composée de 11 individus fondamentalistes adeptes de la pensée takfiriste et jihadiste, projetait de commettre des actes terroristes contre des personnalités et des intellectuels à l'intérieur du territoire du Royaume.
Ils ont été arrêtés en possession d'un pistolet et des munitions dont ils se sont emparés après avoir agressé un agent de police à Casablanca.
Son chef, un Palestinien venu au Maroc en 2010, avait utilisé lnternet pour prendre contact avec des Marocains qui partageaient ses idées pour orchestrer des attentats dans le pays. La cellule démantelée recrutait aussi des Marocains pour les envoyer vers des foyers de tension, particulièrement en Afghanistan, en Irak, en Somalie et dans la zone sahélo-saharienne.
Depuis les attentats qui avaient secoué Casablanca en mai 2003 et fait 45 morts, dont 13 kamikazes, de nombreuses cellules ont été démantelées au Maroc et plusieurs centaines de suspects ont été jugés et condamnés à de lourdes peines.