-
Annulation des accords Maroc-UE: Dépassée et sans impact la décision de la CJUE
-
L’USFP réitère sa position constante de soutien au droit du peuple palestinien à l’établissement de son Etat indépendant et appelle à la protection de l’intégrité territoriale du Liban
-
Le chef du gouvernement représente SM le Roi au XIXème Sommet de la Francophonie
-
Le Groupe des amis du multilatéralisme se réunit à Stockholm pour repenser l'avenir de la coopération internationale
-
Ahmed Lahlimi Alami fait le point sur le RGPH 2024
Selon « La Voix du Nord », le ministre a affirmé «l’absolue détermination du gouvernement dans la lutte antiterroriste», tout en rappelant que «trois lois» ont «permis de doter notre pays de l’ensemble des moyens juridiques nécessaires». Il a, en effet, énuméré les blocages administratifs de sites Internet jihadistes, l’interdiction de sortie de territoire, «l’interdiction de retour sur le territoire national» ou l’expulsion de «ceux qui sont des prêcheurs de haine», ainsi que la loi sur le renseignement.
A noter que le ministre français de l'Intérieur a également annoncé l'expulsion vers le Maroc, en septembre dernier, d'un jihadiste marocain condamné pour terrorisme et qui a été à l'origine de la radicalisation de plusieurs codétenus.
Ahmed Sahnouni El Yaacoubi, né à Casablanca en 1970, avait été, en effet, condamné en mars 2013 à sept ans de prison pour avoir organisé une filière de recrutement pour le jihad. Il avait été déchu en mai 2014 de la nationalité française, acquise en 2002. Il s'agissait alors de la première déchéance de nationalité prononcée depuis 2007, un principe jugé conforme à la Constitution par la plus haute juridiction française, le Conseil constitutionnel, le 23 janvier dernier. Le ministre français a, en outre, précisé que dix-sept expulsions en lien avec le terrorisme ont déjà été prononcées depuis le début de l'année et que "d'autres interviendront prochainement".