-
Rabat : L'ANCFCC tient son Conseil d'administration
-
Fès : Rencontre d'information sur les nouvelles dispositions de la retenue à la source de la TVA
-
BAM lance la 2ème édition de son Prix pour la recherche économique et financière
-
Salon aéronautique de Farnborough: Le GIMAS accompagne l'AMDIE dans la promotion de l'offre Maroc
-
Essaouira Investor Day : Signature d'une convention relative à la Zone d'activités économiques "Douar Laârab"
Le journal français a relevé les «initiatives pionnières» entreprises par les acteurs économiques africains pour dynamiser les secteurs financiers, précisant que parmi ces initiatives, il y a lieu de souligner le rôle de «catalyseur» joué par le projet Casablanca Finance City (CFC) «visant à faire de la capitale économique et financière marocaine un hub et un centre d’expertise pour faciliter l’investissement dans la grande région qui va de l’Afrique du Nord jusqu’à l’Afrique centrale, en passant par l’Afrique de l’Ouest».
Le journal cite à ce sujet les propos de Saïd Ibrahimi, ancien trésorier général du Royaume du Maroc et actuel directeur général de CFC Authority.
Le responsable marocain avait estimé que le Maroc ne craint pas la concurrence d’autres centres financiers. «Nous souhaitons au contraire qu’il y en ait plus pour que cela crée une saine émulation. Il y a de la place pour tout le monde sur le continent africain et chacun trouvera son compte, si la taille du marché s’accroît», avait-il affirmé.
Le journal souligne également l’expansion «impressionnante» des grandes banques marocaines, notamment Attijariwafa et BMCE, en Afrique de l’Ouest et du Centre, qui ont contribué à transformer profondément le paysage de la finance africaine.
Mettant en avant la grande «confiance en soi» dont font montre les Africains, le journal conclut qu’à l’époque des grands leaders charismatiques de l’indépendance succède aujourd’hui celle des grands entrepreneurs et des grands gestionnaires.
«L’Afrique émerge bien et les opportunités y sont nombreuses, mais les Africains entendent bien être les premiers acteurs et les premiers bénéficiaires du développement de leur continent», note-t-il.