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A seulement 19 ans, Carla Bruni s’est lancée dans le mannequinat par seule envie de gagner sa vie : “Ça a été une obsession. Travailler, être indépendant, ça nous a été inculqué par ma mère”. Rapidement, la jeune recrue de l’agence parisienne City Models défile pour les grands créateurs et pose pour les magazines de mode les plus prestigieux avec Naomi Campbell, Linda Evangelista, Cindy Crawford... “J’ai adoré ces années-là”, se souvient alors le top au micro de Marie-Laure Delorme.
Mais en coulisses, tout n’était pas forcément que paillettes et rouges à lèvres : “L’alcool et la drogue, j’y ai échappé par hasard, je n’ai pas du tout le goût de l’auto-destruction, a confié Carla Bruni. Le goût de la fête m’est passé très vite : j’ai le goût du sommeil, je suis une marmotte. Et comme la mode, ça commençait tous les matins à 6 heures, ce qui m’a sauvé, c’est de travailler”. Elle poursuit alors : “J’ai eu de la chance, j’ai tout de suite eu beaucoup de travail et il était impossible de faire la fête. J’ai vite choisi et à 18 ans j’avais déjà une vie complètement adulte, je me couchais tôt le soir et Kate Moss m’appelait “Boring Bruni”“. Un surnom peu flatteur, mais salvateur.