Autres articles
-
Attaques de cybersécurité : La CNDP sensibilise les différents publics contre l’utilisation de données à caractère personnel publiées sur des canaux non autorisés
-
GITEX Africa Morocco : Une 3è édition d'envergure en faveur de l'édification du paysage numérique africain
-
Débat à Casablanca au sujet de l’impact de l’économie numérique sur l’emploi
-
La CNDP initie des travaux en vue d'une délibération sur les traitements d’IA
-
Avec l'intelligence artificielle, des mannequins adaptables à l'infini
On s’y attendait, BlackBerry vient de le confirmer. L’entreprise a présenté le DTEK50, un appareil tournant sous Android 6.0 Marshmallow, à l’instar du Priv lancé l’an dernier. Mais contrairement à ce dernier, il n’y a aucun clavier physique. Le tarif est également bien plus abordable puisque le smartphone sera vendu pour 339 euros (environ 3600 dirhams) à partir du 8 août prochain. Un changement de direction que laissait déjà entrevoir l’annonce de l’arrêt de la production du BlackBerry Classic, il y a quelques semaines.
Mais en voyant le design de l’appareil, difficile de ne pas penser aux Alcatel Onetouch Idol 4 et Idol 4S. Et cela s’explique simplement puisque ces derniers sont produits par le fabricant chinois TCL… justement à l’origine du DTEK50.
Lors de la conférence de présentation, BlackBerry a parfaitement assumé la similitude en expliquant qu’il s’agissait en réalité d’un Idol 4 modifié. Cependant, les évolutions sont plutôt minces au niveau de la fiche technique. A la baguette, on retrouve un Snapdragon 617 épaulé par 3 Go de mémoire vive et 16 Go de stockage (extensibles avec une carte microSD).
Comme l’Idol 4, le DTEK50 bénéficie d’un écran 5,2 pouces Full HD, d’un appareil photo principal de 13 mégapixels et d’un capteur frontal de 8 mégapixels.
Pour se distinguer des autres, BlackBerry mise sur la sécurité. Son OS maison étant relégué au placard, le fabricant a travaillé sur sa surcouche Android, tout en intégrant une sécurisation matérielle. Toutes les données sont désormais chiffrées - conformément à la norme FIPS 140-2 - et il est possible d’avoir accès aux autorisations requises par les différentes applications. Si la fonction existe nativement sur Android Marshmallow, le DTEK50 avertira l’utilisateur lorsqu’une photo sera prise à son insu, ou lors d’un accès douteux au microphone ou aux données de localisation. BlackBerry promet également de déployer les correctifs de sécurité en même temps que Google, sans le moindre délai.
Mais en voyant le design de l’appareil, difficile de ne pas penser aux Alcatel Onetouch Idol 4 et Idol 4S. Et cela s’explique simplement puisque ces derniers sont produits par le fabricant chinois TCL… justement à l’origine du DTEK50.
Lors de la conférence de présentation, BlackBerry a parfaitement assumé la similitude en expliquant qu’il s’agissait en réalité d’un Idol 4 modifié. Cependant, les évolutions sont plutôt minces au niveau de la fiche technique. A la baguette, on retrouve un Snapdragon 617 épaulé par 3 Go de mémoire vive et 16 Go de stockage (extensibles avec une carte microSD).
Comme l’Idol 4, le DTEK50 bénéficie d’un écran 5,2 pouces Full HD, d’un appareil photo principal de 13 mégapixels et d’un capteur frontal de 8 mégapixels.
Pour se distinguer des autres, BlackBerry mise sur la sécurité. Son OS maison étant relégué au placard, le fabricant a travaillé sur sa surcouche Android, tout en intégrant une sécurisation matérielle. Toutes les données sont désormais chiffrées - conformément à la norme FIPS 140-2 - et il est possible d’avoir accès aux autorisations requises par les différentes applications. Si la fonction existe nativement sur Android Marshmallow, le DTEK50 avertira l’utilisateur lorsqu’une photo sera prise à son insu, ou lors d’un accès douteux au microphone ou aux données de localisation. BlackBerry promet également de déployer les correctifs de sécurité en même temps que Google, sans le moindre délai.