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Le ministère a, d'autre part, démenti "les informations non scientifiques et infondées" publiées par certains médias concernant les piqûres de scorpions au Maroc, affirmant que le traitement se base sur la prise en charge hospitalière et la réanimation médicale et non pas sur les antidotes.
Le traitement des piqûres de scorpions n'est guère lié aux antidotes dont l'usage a été délaissé depuis plus de 11 ans en raison de leur inefficacité, explique la même source, notant que le traitement est basé sur la distinction entre les cas de piqûres (90%) et ceux d'intoxication par ces piqûres (10%).
Le communiqué rappelle, par ailleurs, les mesures préventives et les actions de sensibilisation entreprises en vue de lutter contre ce phénomène, notamment la campagne nationale de lutte contre les intoxications résultant des piqûres des animaux venimeux qui s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre les piqûres scorpioniques et des serpents pour l'année 2013.