-
Interpellation à Marrakech d'un individu soupçonné d'évasion au cours d'une garde à vue, de trafic de psychotropes et de vol
-
Karima Rhanem, une voix puissante pour la jeunesse et les femmes africaines
-
Installation de nouveaux magistrats au tribunal de première instance de Tata
-
"2045": Le jeu de société qui simule une invasion chinoise de Taïwan

D’ailleurs, l’onde de choc de la nouvelle a été telle que le communiqué MAP a vite fait d’être repris par l’honorable agence officielle chinoise «xinhua». Sans doute, aguichés par la bonne affaire, fort à parier que nos vénérables affairistes lorgnent déjà le juteux marché des appareils de détection. Remarque, pour avoir arpenté des kilomètres et des kilomètres de nos fameux bitumes, on n’est pas contre. Au moins on ne sera piqué, le pied sur le plancher, qu’une fois sur trois au regard de la chinoiserie que l’on va nous fourguer.
Tout de même ! Monsieur le ministre, c’est pas pour vous fâcher, mais il faut que l’on vous dise aussi, dans cette chronique, que vous lirez peut-être, enfin, si vous avez le temps, que quelques petits trucs concernant notre si beau réseau routier viennent de temps en temps à nous manquer. Rassurez-vous, ils sont insignifiants. Ce ne sont ni les nids-de-poule ni les dos-d’âne sauvages qui sont concernés, mais ces affreux panneaux de signalisation.
Sachez seulement que quand les vilains chauffards que vous savez, leur font du rentre dedans, nos communards, vos services et tous les responsables de la voierie nationale d’un commun accord ne remplacent pas, sans doute par souci d’esthétisme car avilissant le décor sans que d’ailleurs, d’aucuns ne puissent se soucier de leur utilité.
Mais que serait l’Avenue des FAR avec tous ses feux rouges, les ronds-points et rues de Casa avec tous leurs panneaux ? On s’ennuierait à en mourir que de suivre d’une mécanique rationnelle, les lois du Code de nos si belles routes.