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Nécessité de maintenir l'effort de l'investissement public et favoriser son rôle de levier pour l'investissement privé
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Maroc-Belgique : Signature à Rabat d'un mémorandum d'entente pour renforcer la coopération dans le domaine judiciaire
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Mohamed Abdennabaoui : Plus de 4 millions Affaires traitées par les tribunaux du Royaume en 2024
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El Hassan Daki : L’optimisation des performances passe essentiellement par la mise à niveau institutionnelle et humaine
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Examen de la coopération sécuritaire entre le Maroc et l’Espagne
L’exigence d’un nombre minmum d’élus s’est imposée dans un souci de limiter la fragmentation politique jugée nuisible pour le travail parlementaire et pour éviter ou aggraver l’émiettement de notre champ politique marocain que les dispositions de la nouvelle Constitution et la loi sur les partis tentent de combattre. Une volonté exprimée par tous les Marocains en votant massivement et favorablement pour la nouvelle Constitution. Avant même la formation du nouvel Exécutif, la majorité ne semble pas être au diapason de l’esprit des réformes constitutionnelles qui doivent couper court aux pratiques malveillantes du passé. De toute façon, l’esprit du changement contenu dans la nouvelle Constitution et la mise en œuvre de celle-ci ne semblent pas inquiéter outre mesure la majorité. Et la suite viendra lors de la formation des commissions parlementaires.