-
Présidence marocaine du CPS pour le mois de mars : Le Royaume plaide pour le renforcement du rôle du Groupe des sages
-
Le Réseau africain des INDH entérine la candidature d’Amina Bouayach à la présidence de la GANRHI
-
Houcine Youabed : Les précipitations ont concerné l'ensemble du Royaume mettant fin à une moitié d'hiver de déficit pluviométrique
-
Latifa Cherif préside la délégation parlementaire participant à la 69ème session de la Commission de la condition de la femme de l’ONU
Cet échange de et vers Smara, le 27ème au titre de l’année 2009, a connu la participation de 66 bénéficiaires appartenant à 12 familles, apprend-on auprès des autorités locales à Smara.
A son départ de l’aéroport de Laâyoune, M. Guterres a souligné dans une déclaration à la presse, que l’objectif de cette visite est d’assister de près “au déroulement de l’opération d’échanges de visites familiales qui recèlent une grande importance de point de vue humanitaire”.
Il a aussi émis le souhait de voir se développer davantage ces visites, notant que “toutes les parties se sont mises d’accord pour l’ouverture d’une ligne terrestre directe entre Tindouf et Laâyoune, ce qui permettra de renforcer de façon significative le nombre de personnes bénéficiaires de cette opération”. Le Haut commissaire, rappelle-t-on, avait, par ailleurs, affirmé, jeudi soir à Rabat, que l’augmentation de l’aide humanitaire du HCR en faveur des camps de Tindouf reste liée à un recensement des populations de ces camps.
“Pour changer la situation actuelle (réduction de l’aide), décidée sur la base des estimations du HCR, il faudrait un recensement qui n’a rien à voir avec le processus politique”, a souligné M. Guterres dans une déclaration aux deux chaînes nationales de télévision.
Le responsable onusien a également indiqué que l’Algérie s’était opposée au recensement des populations des camps de Tindouf, et qu’elle fournit toutefois au HCR des chiffres plus élevés que les estimations des Nations-Unies.
“Nous avons réduit notre aide en matière alimentaire sur la base des estimations que nous avons et qui sont inférieures aux chiffres donnés par les autorités algériennes”, a-t-il expliqué. “La décision que nous avions prise a été contestée. Pour la changer, il faut un recensement qui n’a rien à voir avec le processus politique”, a-t-il dit.