-
Une mesure "excessive", pour l'avocat de sa fille Anouchka
-
Le prince Harry arrivé trop tard pour dire adieu à Elisabeth II : La triste raison de son retard
-
Blessé dans un accident de moto, l'acteur Mathieu Kassovitz s'exprime pour la première fois
-
Erling Haaland accro à une pratique controversée comme d'autres stars du sport
«J’appréhende ma vie comme un chemin. Je suis toujours en quête de liberté, et si je peux parfois paraître audacieuse, c’est parce que je ne choisis pas vraiment la prudence ou la mesure», exprime-t-elle. Elle possède une maison «au fin fond de la jungle» et celle-ci lui a visiblement permis d’être plus courageuse. «Je travaille à l’ONU, je collabore avec des militaires, je me pousse à vivre des expériences que j’estime nécessaires à ma construction d’être humain. Je me force à faire tous les jours des choses qui m’intimident et qui parfois me font peur. Je ne me suis jamais cantonnée dans un confort physique ou émotionnel : je recherche l’épreuve du réel», poursuit la mère de six enfants.
Puis, Angelina est revenue sur son divorce en 2016 avec Brad Pitt, avec qui elle a eu trois enfants biologiques et trois enfants adoptifs : «C’était un moment compliqué, où je ne me reconnaissais plus, où j’étais devenue... comment dire... plus petite, comme insignifiante, même si cela ne se voyait pas forcément. J’ai ressenti une profonde et véritable tristesse, j’étais blessée». Bien que quatre années soit passées depuis la séparation, la relation avec l’acteur de 55 ans semble toujours très tendue. «Les circonstances de ma séparation font que j’ai dû me réinstaller à Los Angeles, car Brad veut continuer d’y vivre. L’Europe, la France, Paris, c’est une tout autre vie, ce n’est pas mon quotidien, hélas...», déplore-t-elle, avant de poursuivre : «Je préférerais voyager plus souvent, mais ce n’est pas compatible aujourd’hui avec le travail de Brad. Je coopère.».
Dans l'interview, Angelina Jolie n'a cessé de rappeler qu'elle était une mère avant tout.